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    Liste : Léviathan ; licorne ; Lion de Némée ;


    Léviathan<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Le Léviathan est un monstre marin évoqué dans la Bible dont le nom désigne un monstre colossal.

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    Ce monstre, dont on ignore la forme, peut être considéré comme l'évocation d'un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d'en bousculer l'ordre et la géographie sinon d'anéantir le monde.

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    Léviathan est également, selon certaines versions, le nom donné à un des démons principaux de l'enfer. Selon les rabbins, il serait un des quatre cardinaux gouvernant au Midi, une des quatre parties du monde.

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    Léviathan est représenté au Moyen Âge sous la forme d'une gueule ouverte qui avale les âmes, représenté ainsi comme l'entrée des enfers.

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    Le Léviathan est souvent représenté sous la forme d'un gigantesque serpent de mer, dont les ondulations sont à l'origine des vagues.


    Licorne

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Licorne, animal fabuleux doté d’une unique corne torsadée au milieu du front.

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    Symbole de pureté, la licorne est évoquée dès l’Antiquité dans des textes provenant de Perse et de Grèce. Il en est ensuite fait mention dans l’Ancien Testament. L’animal, décrit sous des formes et des couleurs fort différentes selon les sources, s’apparente alors à l’âne ou à la chèvre. Sa figure est reprise durant le Moyen Âge, période à laquelle elle est mise au service de la tradition chrétienne. Dans ce contexte, nombreux sont les symboles qui lui sont rattachés. Ne pouvant être capturée que par une vierge, la licorne figure Jésus-Christ ou la parole divine ; elle est également fréquemment associée à Marie. Sa capture et sa mort font écho à la Passion du Christ.

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    L’apparence de la licorne se fixe également à l’époque médiévale. Couramment représentée dans les manuscrits, en particulier les bestiaires, elle y est décrite sous l’aspect d’un cheval blanc muni d’une longue corne d’ivoire. Parmi les croyances qui l’entourent, on peut citer celle selon laquelle sa corne neutralise l’action des poisons.

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    L’une des représentations les plus célèbres de l’animal est la tapisserie de la Dame à la licorne (fin du XVe siècle, musée national du Moyen Âge, Paris) où l’animal est associé à une imagerie célébrant l’amour courtois.

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    2- Autres informations<o:p></o:p>

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    Mon article ne comprends que les informations ci-dessus pour ne pas être trop long mais pour beaucoup plus d’informations sur la licorne, ses légendes, ses apparition et autres utilisez le lien suivant :

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    http://fr.wikipedia.org/wiki/Licorne


    Lion de Némée<o:p></o:p>

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Dans la mythologie grecque, le lion de Némée est une créature fantastique tuée par Héraclès au cours de ses travaux.<o:p></o:p>

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    Le lion de Némée est le rejeton d'Orthos, le chien de Géryon (géant à trois têtes, ou à trois corps, qui vivait loin à l'ouest, dans une île du nom d'Érythie, dans le cours de l'Océan, au-delà des colonnes d'Hercule. Il y faisait paître un troupeau de bétail magnifique, avec l'aide de son bouvier Eurytion et de son chien Orthos), et de la Chimère ou d'Échidna. Une tradition minoritaire lui attribue pour père Typhon, sans que la mère ne soit précisée ; une autre encore mentionne Séléné, déesse de la lune, comme sa mère. Élevé par Héra, il fait régner la terreur dans la région de Némée, en Argolide. Il présente la particularité d'avoir une peau impénétrable.

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    Tuer ce monstre et le ramener à Eurysthée (roi de l'Argolide) constitue le premier des douze travaux qu'Héraclès doit accomplir. À son arrivée à Cléonae, le héros s'arrête dans la hutte d'un laboureur, nommé Molorchos, qui veut lui offrir un sacrifice, comme à un dieu. Refusant pareil honneur, Héraclès lui demande d'attendre un mois. Ce mois écoulé, ou bien il méritera un sacrifice au titre de héros mort, ou bien il aura tué la bête, auquel cas Molorchos pourra alors offrir le sacrifice à Zeus sauveur.

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    Un soir, Héraclès surprend le lion sur le versant d'une colline, après le repas de la bête. Dissimulé, il tire sur elle à coup de flèches. Mais il s'aperçoit rapidement que le monstre est invulnérable. Ses flèches, offertes pourtant par Apollon, rebondissent sur son cuir. Le lion charge, Héraclès évite l'assaut. Il combat armé seulement de sa massue en bois d'olivier. Il en frappe le lion, puis l'étouffe, brisant sa massue dans la mêlée. Il l'écorche en utilisant les propres griffes du monstre pour entamer la peau coriace. Il nettoie la peau et s'en revêt. Zeus met le lion dans le firmament, au nombre des constellations. Molorchos est en train de sacrifier au héros lorsque soudain Héraclès arrive à Cléonae. À son retour à Tirynthe, le héros lance la peau aux pieds d'Eurysthée, qui en est si terrifié qu'il saute dans une jarre pour s'y cacher. Il ordonne à Héraclès de déposer dorénavant ses trophées à l'extérieur de la ville et de ne communiquer avec lui que par l'intermédiaire de son héraut, Coprée.

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    Selon des anciennes légendes, le lion de Némée attaquait comme le Sphinx égyptien, c'est-à-dire en poussant un hurlement tel qu'il éclatait les tympans à quiconque osait l'attaquer. Il pouvait aussi ébranler la terre en la frappant très fort avec son pelage de cuir.


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