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Par SunCe le 29 Juin 2006 à 18:35
*C*
Liste : calmar ; coquille Saint-Jacques ; corail ; crabe ; crevette
Calmar<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Calmar (un)
Embranchement : Mollusques
Classe : Céphalopodes
Sous- classe : Colloïdes
Ordre : Décapodes
Genre : Architeuthis
Taille : Les calmars sont de tailles très diverses. Le calmar commun de l'Atlantique Nord (la limite méridionale de son aire de répartition est le Maroc) et de Méditerranée, souvent appelé encornet et très apprécié pour sa chair, atteint 30 à 45 cm de long. Les calmars géants, dune longueur denviron 18 m, dont plus de 11 m de tentacules, ont déjà été étudiés.
Poids : Suivant les espèces, de quelques kilos, à plusieurs centaines de kilos voir de tonnes pour les calmars géants.
Nourriture : Les calmars sont des prédateurs qui se nourrissent de poissons, de mollusques, de crustacés.<o:p></o:p>
Milieux : Les calmars géants, hantent les grandes profondeurs (depuis 500 m jusquà 3 000 ou 4 000 m) et nont jamais été observés dans leur milieu naturel.
Défense : Sils se sentent menacés, ils protègent leur fuite aux yeux de leur prédateur en expulsant un nuage dencre. Ils peuvent aussi changer la couleur de leur peau pour se camoufler.
Reproduction : Lors de laccouplement, le mâle dépose un spermatophore (amas de spermatozoïdes) dans loviducte de la femelle, à laide dun tentacule modifié qui joue le rôle dorgane copulateur. La fécondation est donc interne. La femelle libère ensuite une grande quantité dufs fécondés, dont seule une infime partie parviendra à lâge adulte.
Temps dincubation : <o:p></o:p>
Durée de vie : La durée de vie de la plupart des espèces est de un an ou moins et quelques espèces seulement ont un cycle de vie supérieur à un an. Certaines espèces tropicales de petite taille complètent leur cycle de vie en quelques mois seulement.
Prédateurs : Les calmars géants sont souvent la proie des cachalots.
Autre : En juillet 2002, un calmar géant de près 2,5 t (avec des tentacules évaluées à 15 m de long) a été trouvé sur les plages de Tasmanie.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Calmar, mollusque céphalopode marin proche de la seiche, doté de dix tentacules.
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2- Morphologie <o:p></o:p>
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Le corps du calmar est plus allongé que celui de la seiche ; il porte à son extrémité postérieure, selon les espèces, deux nageoires latérales horizontales (calmar commun), ou une nageoire unique de forme plus ou moins triangulaire (pointe tournée vers lextérieur), chez la seiche, la nageoire court tout autour du corps. Dépourvu de protection externe, il est soutenu par un squelette interne corné en forme de plume. La tête, proportionnellement de grande taille, porte deux grands yeux dont la structure est similaire à celle des yeux des vertébrés. La bouche, munie de fortes mâchoires cornées formant un bec, est entourée de dix tentacules. Deux dentre eux sont plus longs que les autres ; ils permettent à lanimal de capturer ses proies. Celles-ci sont ensuite passées aux bras plus courts, qui les portent à la bouche.
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La peau, tout comme celle des seiches et des pieuvres, comporte des cellules pigmentaires appelées chromatophores, qui leur permettent de modifier leur coloration (les changements de couleur se font en fonction des déplacements de granules de pigments à lintérieur de ces cellules). Cette propriété, chez les calmars, ne sert pas tant au camouflage quà lémission de signaux de communication visuels entre partenaires sexuels pendant la saison de la reproduction. Les espèces des grands fonds sont bioluminescentes.
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3- Mode de vie<o:p></o:p>
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Contrairement aux seiches, qui vivent près des côtes, les calmars sont des animaux de pleine mer. Ils se déplacent, parfois très vite, en expulsant rapidement l'eau de la cavité du manteau par un « entonnoir » qui peut être orienté pour diriger le déplacement.
Coquille Saint-Jacques<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Coquille Saint-Jacques (une)
Embranchement : Chordés
Sous-embranchement : Vertébrés
Classe : Bivalves
Sous- classe : Ptériomorphes<o:p></o:p>
Ordre : Ostréoidés
Famille : Pectinidés
Genre : Pecten
Taille : De 10 à 20cm
Nourriture : La coquille Saint-Jacques est détritivore et planctonophage. C'est un mollusque purement filtreur. Sa nourriture consiste en végétaux microscopiques diatomées principalement, et autres algues, retenus par les branchies.
Milieux : Les coquilles Saint-Jacques se rencontrent dans la plupart des océans, aussi bien en eau profonde que peu profonde, sur les fonds sableux ou vaseux.
En Europe elle vit dans le nord de l'Atlantique et la Méditerranée. On la trouve en Normandie, en Bretagne, en Écosse, en Irlande, en Italie ou en Angleterre.
Reproduction : La coquille Saint-Jacques est hermaphrodite. La glande génitale s'étend sur le côté du muscle adducteur et comprend deux parties : la partie mâle, blanchâtre, est supérieure ; la partie femelle, rouge orangé, est inférieure. Les gonades ou "corail" sont de taille réduite en période de repos sexuel. La maturité sexuelle peut varier suivant les milieux <o:p></o:p>
Durée de vie : La durée de vie maximale est de 20 ans.<o:p></o:p>
Petit : L'oeuf fécondé se transforme en une larve trochopore (elle possède un voile, n'a pas de coquille ; elle est nageuse), puis devient une larve véligère (coquille équivalve), puis sa forme se modifie par métamorphose pour donner une larve pédivéligère. Cette métamorphose entraîne des modifications plus anatomiques que morphologiques. Le pied se forme alors que le vélum n'a pas complètement régressé. La larve peut nager et ramper. Plus tard, ses valves deviennent dissymétriques : c'est une post-larve. La larve cherche à se fixer au bout de 3 ou 4 jours au moyen d'un byssus.
La phase larvaire dure environ 3 semaines. Après la métamorphose, le stade de fixation de la larve, pendant son premier été, est d'environ 10 semaines. La morphologie définitive apparaît lorsque la taille atteint 1 centimètre. Le comportement de la jeune coquille devient alors celui de l'adulte, libre, nageur.Autre : Il faut noter que la croissance est irrégulière. Elle se déroule pendant les mois les plus chauds et s'interrompt l'hiver. Elle dépend également des conditions du milieu. On peut observer, sur la coquille, aussi bien sur la valve droite que sur la valve gauche, des stries plus ou moins marquées, correspondant aux arrêts de croissance hivernaux, et des anneaux de croissance en légère dépression.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Saint-Jacques, coquille, mollusque marin comestible du groupe des bivalves, également appelé pecten, capable de se déplacer en faisant claquer les deux valves de sa coquille.
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Leurs coquilles sont ornées de côtes, qui s'élargissent sur les bords des valves, les faisant ressembler à des éventails. Elles s'ouvrent et se ferment grâce à un muscle unique assez important, le muscle adducteur. Les bords des coquilles sont coupants et ondulés. Au niveau de l'ouverture des deux valves, l'enveloppe de l'animal, ou manteau, est bordée d'un pli (le velum) qui porte un grand nombre d'yeux simples (ocelles), sensibles aux variations d'intensité lumineuse. Les coquilles Saint-Jacques se fixent rarement à un rocher. Elles se déplacent en ouvrant et refermant rapidement leurs deux valves, par le jeu de leur muscle adducteur, ce qui chasse l'eau contenue dans leur cavité interne et les projette en arrière, par réaction.
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Les coquilles Saint-Jacques sont très appréciées en gastronomie ; on les nomme souvent simplement Saint-Jacques.
Corail<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Corail (un)
Embranchement : Clentéré
Classe : Anthozoaires
Sous- classe : Les coraux à huit tentacules constituent les sous-classes des octocoralliaires et des alcyonaires. Ceux dont le nombre de tentacules est égal à six ou à un multiple de six appartiennent à la sous-classe des hexacoralliaires).
Ordre : Les vrais coraux appartiennent à l'ordre des madréporaires.
Taille : Les polypes coloniaux ont un diamètre de 1 à 3 mm en moyenne.
Poids : Impossible à déterminer.
Nourriture : La nuit, les tentacules s'étendent, capturent le plancton et l'amènent vers la bouche. Des cellules urticantes ou nématocystes portées par les tentacules ont la capacité de paralyser les proies.<o:p></o:p>
Milieux : Les coraux coloniaux peuvent se développer en eau profonde, mais les coraux bâtisseurs de récifs ne vivent qu'en eau chaude et peu profonde. Ils sont cantonnés à la zone dans laquelle pénètre la lumière, car les algues symbiotiques appelées « zooxanthelles » qui vivent dans leurs tissus ont besoin de cette lumière pour accomplir la photosynthèse.
Sens : Leurs tentacules assure le sens du toucher.
Reproduction : Les colonies coralliennes peuvent être mâles ou femelles ou comporter les deux sexes vivant côte à côte. Les espèces solitaires et certaines colonies sont hermaphrodites.<o:p></o:p>
De manière simplifiée, voici les deux principaux types de reproduction :<o:p></o:p>
- Ce sont les courants qui permettent aux spermatozoïdes mâles de parvenir dans les polypes femelles. Quand la fécondation seffectue dans le polype, luf qui en résulte se divise en quelques jours et aboutit à une larve (planula) qui sera ensuite expulsée par la bouche.<o:p></o:p>
Les larves, en très grand nombre, forment de véritables nuages. Les larves flottent pendant une à huit semaines environ en utilisant les courants. A ce stade là, la larve est capable de se nourrir du zooplancton. Si la larve survit aux prédateurs et aux courants, elle se laisse couler sur un point dancrage solide sur lequel elle se fixe. La larve se met aussitôt à sécréter une base calcaire qui sera à lorigine dune nouvelle colonie.<o:p></o:p>
- Chaque polype, mâle ou femelle, peut donner spontanément naissance à un autre polype. Ce type de reproduction fonctionne par bourgeonnement et assure la croissance continue des coraux récifs. Par exemple, la larve se fixe et son premier polype se met à pousser. Bientôt, à la base de ce polype initial, se forment des bourgeonnements qui deviennent des polypes secondaires (polypes-fils). En trois semaines, ils se seront à leur tour bâti un squelette complet. De nouvelles générations se mettront à pousser sur les polypes-fils et ainsi de suite.
En moins dun an, une colonie peut ainsi être constituée de 20 à 30 individus.<o:p></o:p>Temps dincubation : Quelques jours.<o:p></o:p>
Durée de vie : Peuvent vivre jusquà 60 ans
Autre : La ponte corallienne sopère par une nuit claire, souvent juste après la pleine lune. Des milliers de petites planulas sont expulsées en même temps. Ce spectacle fantastique ne se produit quune à deux fois par an.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Corail, classe d'invertébrés marins ayant pour caractéristique commune un squelette externe calcaire ou corné. Ce squelette protecteur est souvent lui-même appelé « corail ».
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Les coraux sont répartis en deux sous-classes selon leur type de symétrie radiale (symétrie par rapport à l'axe central). Une sous-classe est composée d'animaux coloniaux à huit tentacules possédant leur propre squelette interne. On y trouve le corail fouet, les gorgones et le corail rouge utilisé en joaillerie. Les membres de l'autre sous-classe ont généralement six tentacules, ou un nombre multiple de six, mais d'autres arrangements sont également possibles. Ils comprennent les vrais coraux ou madréporaires. Une autre classe du même embranchement groupe des formes apparentées qui ne seront pas considérées ici.
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2- Structure <o:p></o:p>
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Les vrais coraux sécrètent du carbonate de calcium au niveau de la moitié inférieure du pédoncule de l'animal, ou polype, produisant un squelette en forme de coupelle. Les polypes sont ancrés dans cet habitacle et s'y retirent pour se protéger. Au sommet du pédoncule, un disque oral aplati comporte une ouverture entourée de tentacules plumeux et de cils qui sert à la fois de bouche et d'anus.
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3- Colonies<o:p></o:p>
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Certains madréporaires sont des polypes solitaires, mais la plupart sont coloniaux. Ils sont reliés par des tubes latéraux qui sont une extension de leurs cavités gastro-vasculaires.
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Les coraux ne pourraient subsister sans la présence de ces algues. L'algue fournit des molécules carbonées au corail, augmentant ainsi l'énergie disponible. En retour, la nourriture du corail peut fournir de l'azote et du phosphore aux algues. La dépendance des coraux envers les algues varie selon les espèces et leur localisation. Les madréporaires sont les principaux bâtisseurs de récifs, mais d'autres organismes peuvent y contribuer, par exemple les hydrocoralliaires, les algues calcaires, les mollusques et les éponges.
Crabe<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Crabe (un)
Embranchement : Crustacés
Classe : Malacostracés
Ordre : Décapodes
Sous-ordre : Brachyoures
Famille : Pleocyemata
Taille : variation selon les espèces : de quelques centimètres à plusieurs mètres denvergure <o:p></o:p>
Poids : variation selon les espèces, en général, plusieurs kilos
Nourriture : Presque tous : animaux morts ou vivants, détritus, crustacés.
Milieux : milieux très variés : sur terre (plage, côtes), sous terre (petits terriers). Dans leau, la profondeur varie (0 à 1000 m).<o:p></o:p>
Défense : Leurs pinces servent de défense.
Sens : Les sens de lodorat et du goût sont également très développés et leur permettent didentifier nourriture et partenaires sexuels.<o:p></o:p>
Reproduction : Toutes les espèces de crabes ont des sexes séparés. Laccouplement se produit souvent après la mue de la femelle, lorsque sa nouvelle coquille na pas encore eu le temps de durcir. Les ufs sont conservés dans une poche incubatrice et la femelle les transportera jusquà la mer avant quils néclosent.
Durée de vie : Les crabes vivent entre 3 et 12 ans.
Petit : Les ufs écloront dans leau et passent par deux stades de développement avant déclore sous forme de larves nageuses. Chez certaines espèces, les larves passent dabord par une forme dite zoé, sans ressemblance avec ladulte, puis par un stade dit mégalope, plus proche sur le plan anatomique mais chez lequel labdomen est encore visible. À chaque mue, le jeune crabe augmente de taille. Les pattes et les chélipèdes perdus peuvent être remplacés mais restent souvent de taille plus réduite.
Cri : Les sons émis par un crabe peuvent consister en une vraie stridulation obtenue par frottement des pattes entre elles ou sur la carapace. Les Uca frappent les deux chélipèdes* contre la carapace, tapent au sol comme sur un tambour, et produisent également des chuintements en respirant. La fréquence des sons augmente si un mâle agressif ou une femelle approchent.<o:p></o:p>
Nul doute que les crabes communiquent par voie orale même si nous navons pas encore décrypté leur langage. Par exemple, un mâle, à lintérieur de son terrier, produit des sons plus hauts de 2 à 6 décibels quun mâle qui se trouve près de lorifice. Chaque espèce semble posséder son propre langage.
Chélipèdes : paires de pattes antérieures du crabe.<o:p></o:p>
Autre :
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1- Présentation <o:p></o:p>
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Crabe, crustacé décapode caractérisé par ses premières pattes transformées en pinces, un abdomen réduit replié sous le corps, un céphalothorax élargi, et la présence dun squelette externe constitué de chitine formant une carapace dorsale. Bien que très commun parmi la faune du fond des mers et des rivages, les crabes vivent également en eau douce et certains saventurent même sur la terre ferme. Beaucoup de crabes sont comestibles ; on les capture à laide de filets ou de casiers. Leur chair est riche en protéines et pauvre en matières grasses.
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2- Caractéristiques<o:p></o:p>
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Les crabes sont apparentés aux homards et aux crevettes, mais leur développement évolutif leur permet de marcher, de courir de côté et de creuser aussi bien que de nager. Ils font partie des décapodes reptantia, cest-à-dire marcheurs (à lopposé des crevettes, qui appartiennent au groupe des natantia). Leur corps est protégé par une carapace chitineuse et par un revêtement cireux. Labdomen réduit, qui ne sert plus à la locomotion chez de nombreuses espèces, est replié sous le corps. Il sert de poche incubatrice pour les ufs.
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Le corps segmenté du crabe possède plusieurs paires dappendices : quatre paires servent à la locomotion et deux dantennes sensorielles. Les pattes antérieures sont transformées en pinces (chélipèdes) utilisées pour saisir la nourriture, se défendre et parader. Les crabes atteignent souvent une taille considérable, le record étant détenu par un crabe du Japon qui peut dépasser 3,5 m denvergure (pattes comprises), pour une carapace de 40 cm.
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Les crabes apparaissent à bien des égards comme des animaux évolués. Ils possèdent un système nerveux assez développé et sont capables de sadapter aux conditions changeantes du milieu, ce qui leur permet de survivre dans des habitats hostiles. Leurs habitudes alimentaires sont très variées.
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Ces animaux, généralement actifs et au comportement complexe, ont des yeux composés très performants. Le comportement reproducteur et social comprend parfois des rituels daccouplement complexes et des signaux de communication élaborés. Les crabes ont tendance à se montrer agressifs envers leurs congénères.
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3- Diversité<o:p></o:p>
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Les crabes des sables ont un corps allongé et senfoncent à reculons dans le sable. Ils filtrent les particules alimentaires en suspension dans leau. Les araignées de mer ont de longues pattes et un corps étroit. Elles se camouflent en décorant leur carapace avec des algues et des anémones. Leur carapace est de forme triangulaire, ce qui les différencie des vrais crabes.
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Les crabes vrais sont particulièrement nombreux. Les tourteaux et les crabes de roche ont un corps large et ovale. Les crabes nageurs, comme le crabe laineux, ont des pattes modifiées en nageoires. Les crabes petits-pois sont minuscules et vivent dans des animaux marins comme les huîtres. Les crabes enragés, ou crabes verts, faciles à observer, vivent sur le rivage au niveau de la mer ; on les rencontre couramment sur les côtes françaises. Les côtes de la Manche voient évoluer létrille. Les crabes violonistes mâles, fouisseurs, ont une grande pince dont ils se servent pour laccouplement et les combats ce sont les grands mouvements quils effectuent avec leurs pinces qui leur ont valu leur nom. Ce sont des espèces semi-terrestres.
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Les crabes terrestres tropicaux sont des omnivores qui retournent à la mer pour libérer leurs larves. Nombreux sont ceux qui vivent dans des terriers creusés sur la plage, ou plus loin dans les terres. Les régions tropicales abritent également des crabes deau douce, qui vivent dans des cours deau. Cependant, on peut également rencontrer des crabes deau douce dans les régions tempérées, en Grèce, par exemple.
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Le crabe des cocotiers, malgré son nom, appartient à la famille des bernard-lermite terrestres.
Crevette<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Crevette (une)
Embranchement : Chordés
Sous-embranchement : Vertébrés
Classe : Malacostracés
Ordre : Décapodes
Taille : Certaines variétés de crevettes peuvent mesurer jusqu'à 20cm
Poids : Quelques dizaines de grammes
Nourriture : La crevette est un animal omnivore. Elle se nourrit de plancton, de poisson de crabes mort et de vers.
Milieux : Elle vit parmi les algues sur le fond sablonneux.<o:p></o:p>
Reproduction : Les crevettes sont unisexuées (mâles et femelles), cependant certains mâles peuvent se transformer en femelles après un certain temps, qui en moyenne se situe autour des deux ans. En prenant en compte ces conditions, la femelle ne peut s'accoupler que trois fois par an: en général le cycle printemps, été et milieu de lhiver est respecté.<o:p></o:p>
La quantité d'oeufs pondus par la femelle croît en fonction de son âge. Ainsi à l'âge de trois ans, une crevette femelle peut pondre plus de 25 000 oeufs. Une fois fécondés, les oeufs sont suspendus par la femelle à son abdomen à l'aide d'un mucus naturel collant sécrété sur les poils, protection de la future progéniture face à ses congénères, ou autres prédateurs; elle portera les oeufs jusqu'à leur éclosion. On peut connaître l'avancement de la maturation d'un oeuf grâce à sa couleur; en effet plus l'oeuf est foncé, plus il est mature et donc proche de l'éclosion.<o:p></o:p>
Temps dincubation : La durée d'éclosion varie selon la température de l'eau, et donc des saisons; en été le processus peut prendre 4 semaines, alors qu'en hiver il peut durer jusqu'à environ trois mois.<o:p></o:p>
Durée de vie : La durée de vie de la crevette est de 7 ans.
Femelle : La crevette femelle ne peut s'accoupler qu'après avoir effectué sa mue (changement de carapace)
Petit : Une fois les oeufs éclos, la crevette ne se pose pas au sol, elle nage dans l'eau et ne se posera qu'au bout de quelques mois au fond de l'eau.<o:p></o:p>
Prédateurs : Les prédateurs des crevettes sont les poissons et les crustacés.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Crevette, petit crustacé décapode appartenant au même ordre que les crabes, les écrevisses et les homards. La taille des crevettes varie : de celle d'un petit insecte à plus de 20 cm de long. Les crevettes vivent dans l'eau salée ou douce mais plus particulièrement sur les fonds marins peu profonds où elles se nourrissent de petits animaux et de plantes. Quelques espèces sont pélagiques, nageant en haute mer à de très grandes profondeurs.
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Les crevettes sont anatomiquement semblables aux homards et aux écrevisses mais n'ont pas de grandes pinces. Les animaux sont généralement transparents, de couleur verdâtre ou brune. Ils ont un abdomen musclé qu'ils contractent rapidement pour nager à reculons. Leur chair, très appréciée, sert de base à de nombreux plats et la pêche à la crevette est une activité économiquement importante. Les animaux ont huit paires d'appendices sur le thorax. Les trois premières paires, appelées maxillipèdes, servent à l'alimentation. Les cinq autres, les péréiopodes, servent à la marche. L'abdomen porte cinq paires de pattes nageuses, les pléopodes, et une queue en éventail.
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