• *H*

    Liste : homard ; huître ;


    Homard<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Homard (un)

    Embranchement : Arthropodes

    Sous-embranchement : Crustacés

    Classe : Malacostracé

    Sous- classe : Eumalacostracé

    Super-ordre : Eucaridé

    Ordre : Décapodes

    Famille : Nephropidés

    Genre : Homarus

    Taille : Il peut mesurer 50cm

    Poids : Il peut peser 4kg.

    Nourriture : Tous les homards sont des nécrophages.

    Milieux : Le homard affectionne les mers froides. L'aire de répartition du homard est très large, sur la quasi-totalité des côtes nord-atlantiques, du côté européen, comme du côté américain. Le homard vit du bas de la zone infra-littorale (à la limite des zones découvertes aux grandes marées, sous les rochers où il a creusé son terrier), jusqu'à environ 60 mètres de profondeur.

    Défense : Ses pinces lui servent de défense.

    Reproduction : La reproduction se fait l'été. La femelle venant tout juste de muer, le mâle lui transfère son sperme, qu'elle gardera en elle plusieurs mois. Elle pondra ses oeufs l'année suivante. Après l'accouplement, elle peut pondre des milliers d'oeufs mais en perd 50% pendant l'incubation.

    Temps d’incubation : Elle les gardera sous sa queue repliée pendant 9 à 12 mois.<o:p></o:p>

    Durée de vie : 40 à 50 ans en moyenne.<o:p></o:p>

    Petit : La larve, minuscule (quelques mm), mène une vie planctonique au début de son existence, où elle est la proie de nombreux animaux marins, puis elle subit une mue de métamorphose et se pose sur le fond. Le homard juvénile subit une vingtaine de mues de croissance avant d'atteindre l'âge adulte, vers l'âge de quatre ou cinq ans.<o:p></o:p>

    Après avoir atteint la maturité sexuelle, le homard, comme la plupart des crustacés, continue de muer régulièrement (en général une fois par an ou tous les deux ans, voire plus pour les plus gros).

    Prédateurs : Le petit homard est la proie de plusieurs poissons comme la plie, le loup de mer, la morue et bien d'autres animaux. Une fois adulte, son plus grand prédateur est l'homme.

    Autre : Le plus gros homard jamais mesuré a été capturé en Nouvelle-Écosse (Canada) en 1977 et pesait près de 20 kg pour une taille comprise entre 90 et 120 cm. Son âge fut estimé à environ 100 ans.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Homard, crustacé marin marcheur étroitement apparenté aux écrevisses d’eau douce. Les homards appartiennent au groupe des crustacés macroures, du grec makros, « grand » et oura, « queue », qui tiennent leur nom de leur abdomen de grande taille. La langoustine, bien que son nom dérive de celui de la langouste, est une espèce très proche du homard, mais plus petite, aux pinces plus fines et plus longues.

    <o:p> </o:p>

    Il existe trois espèces de homards, dont l’une, de petite taille, ne se rencontre qu’en Afrique du Sud. Les homards européens sont généralement de couleur bleu sombre ; l’espèce américaine présente, sur le ventre, une coloration rouge. Les homards possèdent, à l’extrémité de leur première paire de pattes, une grosse paire de pinces (chélipèdes) élargies. La tête porte deux paires d’antennes, les yeux sont composés et la queue est en forme d’éventail.

    <o:p> </o:p>

    Le homard, mets de luxe, est pêché principalement en Turquie, dans les îles Britanniques, en France, en Italie, en Norvège et au Portugal. Le homard américain ne se trouve que sur la côte est de l’Amérique du Nord, du Labrador à la Caroline du Nord. La langoustine est plus abondante sur les côtes de France, d’Écosse, d’Islande et d’Espagne.


    Huître<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Huître (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Bivalves

    Ordre : Ostréoidés

    Famille : Ostréidés

    Taille : Jusqu’à 25cm

    Poids : Plus d’un kilos.

    Nourriture : L’huître se nourrit de micro-organismes, amenés dans la coquille par le courant produit par les cils et triés par les palpes labiaux avant d’atteindre la bouche.

    Milieux : On trouve des huîtres dans le monde entier. Elles forment généralement de grands bancs qui s’étendent dans la zone des marées jusqu’à une profondeur pouvant atteindre 30 m.

    Reproduction : La saison de reproduction varie selon la latitude. Les huîtres ont divers modes de reproduction. L’huître européenne et l’huître olympia de la côte américaine du Pacifique sont hermaphrodites, leurs organes reproducteurs produisant à la fois les ovules et les spermatozoïdes. Les ovules sont fécondés à l’intérieur du corps et les œufs retenus sur les branchies jusqu’à ce que des larves à coquille soient formées. D’autres espèces sont à sexes séparés. Les femelles libèrent des millions d’ovules dans l’eau où a lieu la fécondation.

    Temps d’incubation : L'incubation dure de 8 à 10 jours<o:p></o:p>

    Durée de vie : La vie d'une huître a une durée qui va de 10 à 80 ans

    Petit : Les larves se développent en six heures, nagent activement pendant deux ou trois semaines, puis s’installent sur des rochers.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Huître, mollusque marin fixé dont la coquille est constituée de deux valves. Les huîtres, comme les moules et les coquilles Saint-Jacques, font partie de la famille des bivalves, ou lamellibranches. Les huîtres comptent actuellement une cinquantaine d’espèces, dont plusieurs sont comestibles. Parmi les autres, on trouve les « huîtres perlières », qui n’ont cependant pas l’exclusivité de la production de perles (celles-ci peuvent être produites par d’autres bivalves, comme certaines moules).

    <o:p> </o:p>

    2- Anatomie<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les huîtres se fixent à des rochers par une de leurs valves ou se tiennent au fond de la mer. Elles sont incapables de bouger, car elles perdent très vite leur pied, mais elles sont parfois délogées par les vagues.

    <o:p> </o:p>

    La coquille de l’huître, irrégulièrement ovale, est constituée d’une valve droite et d’une valve gauche, attachées par un ligament élastique servant de charnière. Un muscle puissant, appelé adducteur, fixé aux deux valves, maintient la coquille étroitement fermée. Lorsque l’adducteur se relâche, le ligament élastique écarte naturellement les valves. L’huître repose sur sa valve gauche, plus profonde et plus épaisse que la droite. À l’exception des aires pigmentées sombres où la coquille est connectée à l’adducteur, les surfaces internes sont blanches.

    <o:p> </o:p>

    Deux replis d’une membrane charnue appelée manteau recouvrent le corps mou de l’animal. Le manteau sécrète les substances organiques et inorganiques qui constituent la coquille. À l’extrémité antérieure du corps, entre deux paires de lèvres minces, ou palpes, se trouve une ouverture qui correspond à la bouche de l’huître. Deux paires d’organes respiratoires en forme de faucille, les branchies, sont couvertes de cils filamenteux. Un court gésier relie la bouche à l’estomac. Le corps contient également des organes digestif, reproducteur, circulatoire, excréteur et nerveux.

    <o:p> </o:p>

    3- Répartition <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’ostréiculture est pratiquée dans de nombreux pays, car l’huître est un mets recherché pour sa saveur et pour ses propriétés nutritives, dues en particulier à ses sels minéraux (voir Nutrition). L’huître se consomme crue (avec du citron ou du vinaigre), pochée (dans du vin blanc, par exemple), ou chaude au four, avec divers accompagnements. En France, on élève plusieurs espèces d’huîtres, notamment l’huître plate (ou belon) et les huîtres creuses (portugaise et japonaise). Les principaux bassins d’ostréiculture sont ceux de Belon, de Marennes-Oléron, d’Arcachon, de Cancale et de Bouzigues.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique