• Oiseaux - H

    *H*

    Liste : hibou ; hirondelle ;


    Hibou<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Hibou (un)

    Embranchement : Chordés

    Classe : Oiseaux

    Ordre : strigiformes<o:p></o:p>

    Famille : strigidés

    Genre : Bubo pour les grands-ducs et Asio pour les moyens ducs.<o:p></o:p>

    Taille : Taille variable selon les espèces : de 30 à 70 cm en moyenne<o:p></o:p>

    Poids : Poids variable selon les espèces : de moins d’un kilo à 3 kg environ.

    Nourriture : Les hiboux, carnivores, se nourrissent de proies vivantes, oiseaux, mammifères ou insectes, qu'ils capturent en général de nuit, parfois pendant leur sommeil, mais de nombreux hiboux affectionnent la chasse au crépuscule, voire en plein jour. Quand la taille des proies le permet, les hiboux les avalent entières.

    Milieux : Europe, Asie, Amérique et Afrique. Le hibou, selon les espèces, aime les espaces découverts et sauvages, comme les prairies herbeuses, les terrains cultivés, les marais salants, les estuaires, les prairies montagneuses et la toundra alpine et arctique.<o:p></o:p>

    Sens : L'ouïe est excellente et permet aux hiboux, qui chassent généralement dans le noir, d'entendre les cris ultra aigus des petits rongeurs. Elle leur permet également de percevoir les ululements de leurs congénères, situés dans des fréquences plus graves. Les hiboux ont en effet développé un vaste répertoire vocal qui leur permet de communiquer.

    La vue est également très bonne, mais ne leur permet généralement pas de percevoir les couleurs, sauf chez les oiseaux qui chassent de jour, comme le hibou des marais.<o:p></o:p>

    Reproduction : Les œufs sont pondus dans un trou ou dans le nid d'autres espèces d'oiseaux, car les hiboux ne construisent pas de nid.

    Temps d’incubation : une trentaine de jours en général mais le temps est variable selon les espèces.<o:p></o:p>

    Durée de vie : 20 à 30 ans selon les espèces

    Femelle : La plupart du temps, mâles et femelles diffèrent non par la couleur, mais par la taille : les femelles sont plus grandes que les mâles.

    Petit : Les oisillons naissent aveugles et se développent lentement. Les jeunes grandissent très vite après la naissance et commencent à fureter autour du nid vers le douzième jour. Ceci réduit leur vulnérabilité face aux prédateurs en accélérant leur adaptation au monde extérieur. Leur plumage est complet au bout de 4 semaines.

    Cri : Ululement

    Autre : Les sucs digestifs sont moins puissants que ceux des rapaces diurnes (comme les aigles) et laissent intacts les os, poils et plumes. Ceux-ci sont alors rejetés par le bec sous la forme de boulettes appelées pelotes de réjection. La taille, la forme et la couleur de ces pelotes varient d'une espèce à l'autre.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Hibou, rapace généralement nocturne possédant des plumes ornementales se dressant au-dessus de la tête, les aigrettes. Les hiboux se rapprochent des chouettes, avec qui ils partagent de nombreuses caractéristiques physiques et comportementales.

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    2- Organes des sens <o:p></o:p>

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    Les hiboux ont de grands yeux peu mobiles dirigés vers l'avant. Leur tête peut tourner sur près de 270°, ce qui leur permet de couvrir un grand champ de vision.

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    Les plumes de la face ont une disposition en cercle caractéristique : elles forment les « disques faciaux », qui conduisent les sons vers les oreilles. Celles-ci sont de simples trous auditifs, très larges, cachés dans les plumes. Elles peuvent être protégées par un repli de peau orientable, qui fait office de pavillon. Elles ne sont pas situées l'une en face de l'autre, mais légèrement décalées : cette asymétrie facilite la localisation de la proie. Bien que les aigrettes fassent penser au pavillon des oreilles, elles n'ont absolument rien à voir avec l'audition.

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    Le vol des hiboux est parfaitement silencieux, grâce au bord frangé de certaines plumes du bout des ailes et à un plumage très moelleux, qui permettent d'étouffer les sons.

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    3- Diversité <o:p></o:p>

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    Les grands ducs font partie des plus grands rapaces nocturnes. Environ dix-sept espèces vivent en Europe, en Afrique et en Asie. Une seule peuple le continent américain, le grand duc d'Amérique. Le grand duc d'Europe est sans doute le plus répandu : on le trouve de la Scandinavie à l'Espagne, et jusqu'au Japon. Il mesure environ 71 cm.

    Le petit duc d'Europe est le seul hibou migrateur. Son territoire s'étend du sud de l'Europe jusqu'au lac Baïkal.


    Hirondelle<o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Hirondelle (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Oiseaux

    Ordre : Passériformes

    Famille : Hirundinidés

    Taille : En moyenne, de 15 à 20 cm.

    Poids : En moyenne une vingtaine de grammes.

    Nourriture : Ils sont presque tous exclusivement insectivores (divers moustiques, mouches, moucherons et autres insectes des régions agricoles).

    Milieux : Partout dans le monde, autant en milieu urbain qu’en milieu naturel.

    Reproduction : Les différentes espèces d’hirondelles ont des reproductions différentes. Les nids ne sont pas construits au même endroit, ni construits avec les mêmes matériaux. Elles ont un nombre d’œufs et de couvée par an différents aussi.

    Temps d’incubation : Entre 2 et 3 semaines. <o:p></o:p>

    Durée de vie : D’environ 10 à 15 ans.

    Cri : Les hirondelles gazouillent différemment suivant les espèces.

    Menaces : Les hirondelles sont dans de nombreux pays des espèces protégées, mais il semble que comme toutes les espèces insectivores, elles pâtissent de la régression ou de l'empoisonnement de leur nourriture par les pesticides. Il est probable qu'elles subissent aussi les effets de la pollution urbaine et il semble que lorsqu'une espèce a déserté une ville, elle n'y revienne que difficilement. Il semble qu'elles puissent aussi accumuler les pesticides, les métaux lourds et d'autres polluants eux-mêmes accumulés par les insectes qu'elle consomme. Ces toxiques sont notamment stockés dans ses graisses, puis largués dans l'organisme lors de l'épuisant voyage de migration vers le sud, affectant fortement les chances de survie de l'oiseau.<o:p></o:p>

    Par ailleurs, les bâtiments modernes, aux matériaux souvent lisses (verre, acier, béton..), sont souvent moins adaptés à l'accueil des hirondelles de cheminées et de fenêtre.<o:p></o:p>

    Le fait que les parents jettent par dessus le nid les fientes de leurs oisillons peut également localement poser problème (souvent résolu par la pose d'un plateau sous le nid).

    Enfin, depuis 2004, les peurs suscitées par la grippe aviaire ont incité des gens à détruire des nids ou nichées (c'est strictement interdit, et probablement non seulement inutile, les hirondelles ne faisant pas partie des espèces à risque (il semble que le commerce et l'élevage des volailles et canards soient de loin la première source de risque), mais contre-indiqué, car en détruisant les nids, on favorise les moustiques et les mouches qui sont porteurs de maladies transmissibles également dangereuses.<o:p></o:p>

    Les élevages industriels et le traitement antiparasitaire des animaux privent aussi les hirondelles de nombreux insectes qu'elles capturaient dans les prairies ou autour des étables, porcheries et écuries où ces derniers se nourrissaient.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Hirondelle, nom commun de nombreuses espèces d’oiseaux d’une famille de passereaux, caractérisés par des ailes longues et pointues, une tête ronde, des petites pattes, et des doigts courts. Comme les martinets, avec lesquels elles n’ont pourtant aucun lien de parenté, les hirondelles ont un bec court mais une bouche large. Cette famille d’oiseaux est largement répandue dans le monde et regroupe quatre-vingt-neuf espèces. Ce sont des oiseaux grégaires, et quelques-uns nidifient en colonies.

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    On trouve en Eurasie et plus particulièrement en France trois espèces très répandues. L’une d’entre elles est l’hirondelle rustique, certainement l’espèce la plus fréquente dans le monde. La seconde est l’hirondelle de rivage. Elle niche en colonies dans des galeries souterraines des rivages. Elle passe la plupart de son temps en l’air, se pose rarement à terre et se perche seulement sur des fils ou sur des roseaux pour passer la nuit. Elle est présente en France de mars à octobre et va hiverner en Afrique. Les retours on lieu à la mi-mars. L’hirondelle de fenêtre fréquente surtout les agglomérations et s’installe pour la reproduction sur la façade des bâtiments. Quelque peu semblable à l’hirondelle de rivage et se nichant également dans des terriers sur des rivages, l’hirondelle serripennis est toutefois moins grégaire*. L’hirondelle de falaise à croupion roux et l’hirondelle cavernicole fulva construisent un nid à base de pelottes de boue. Les nids des hirondelles de falaise sont souvent bâtis les uns à côté des autres contre un mur, sous l’avant-toit d’écuries. Ils sont fermés, en forme de flacon. Ceux de l’hirondelle cavernicole présentent une ouverture en haut. Il s’agit là d’une espèce tropicale qui atteint le sud-est des États-Unis. En France, il faut signaler aussi l’hirondelle des rochers, très présentes dans les zones montagneuses du sud de la France, et l’hirondelle rousseline, en petit nombre dans l’extrême Sud.

    *grégaire : qui a tendance à aimer se regrouper.<o:p></o:p>


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