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    Liste : gavial ; gecko ;


    Gavial<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Gavial (un)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Sauropsides

    Ordre : Crocodiliens

    Famille : Gavialidés

    Genre : Gavialis

    Taille : Il peut atteindre 7 m de long.

    Poids : De 500 à 900 kg environ.

    Nourriture : Il se nourrit de poissons et parfois de charognes.

    Milieux : Il vit en Inde et en Birmanie.

    Reproduction : À l'époque des amours, de violentes bagarres éclatent fréquemment entre gavials mâles. Puis les couples se forment et gagnent les berges des fleuves. La femelle pond dans le sable une cinquantaine d'oeufs dont elle se désintéresse aussitôt. <o:p></o:p>

    Temps de gestation : Environ 2 mois.<o:p></o:p>

    Durée de vie : Plus de 40 ans.

    Petit : Les jeunes, à l'éclosion, mesurent environ 35 cm de long.<o:p></o:p>

    Menaces : Autrefois, on rencontrait couramment le gavial du Gange entre l'Indus au Pakistan, l'Irrawaddy en Birmanie et, au sud, le Mahanadi en Inde. Mais il fut décimé par les effets conjugués d'une chasse intensive, d'une destruction de son habitat et de la compétition pour le poisson, qui constituait sa nourriture principale. Au milieu des années soixante-dix, on estimait sa population totale à 300 spécimens.

    A la limite de l'extinction totale, l'espèce a pu être sauvée grâce à des programmes d'élevage en captivité et de repeuplement menés en Inde et au Népal. Aujourd'hui, on évalue à environ 1 500 le nombre d'individus vivant à l'état sauvage en Inde, dont 1 000 à Chambal. Au Népal, il ne reste plus que des populations résiduelles n'excédant probablement pas 100 spécimens. Au Pakistan, au Bangladesh, au Bhoutan et au Myanmar (ex-Birmanie), les représentants de l'espèce sont extrêmement peu nombreux, ou ont été anéantis. Malgré des efforts de conservation significatifs, le gavial du Gange reste une espèce menacée d'extinction.

    Autre : Ce reptile n'est pas dangereux pour l'homme. Si l'on découvre parfois des bijoux dans l'estomac d'un gavial, on pense que ceux-ci proviennent des morts que les Indiens offrent aux eaux sacrées du Gange. Le gavial du Gange est un animal sacré, que l'on nourrit même près de certains temples.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Gavial, reptile carnivore de l'ordre des crocodiliens, caractérisé par un museau long et pointu renflé à son extrémité au niveau des narines, qui le différencie des autres membres du groupe.

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    La couleur du gavial va du vert olive clair à l'ocre, avec des taches sombres sur le corps et la queue. C’est un animal calme qui n’est pas dangereux pour l’homme.


    Gecko<o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Gecko (un)

    Embranchement : Chordés

    Classe : Reptiles

    Ordre : Squamates

    Sous-ordre : Saurien

    Famille : Geckonidés

    Taille : De 2 à 30 cm.

    Poids : De quelques grammes à quelques kilos.

    Nourriture : Les geckos sont insectivores.

    Milieux : On les rencontre maintenant dans à peu près tous les pays et sous tous les climats, à part les pôles. La plus grande part des geckos se rencontrent dans les pays tempérés ou chauds, fréquemment dans des milieux humides (forêts primaires, forêts tropicales humides). On en trouve malgré tout dans des milieux semi-arides (pourtour de la Méditerranée, par exemple), voire dans les déserts. On en rencontre également qui vivent en altitude jusqu'à 2000 mètres, avec des conditions climatiques parfois extrêmes (neige).

    Défense : Malgré sa sympathique réputation, le gecko peut mordre. Cette morsure peut-être très douloureuse.<o:p></o:p>

    Sens : L’odorat et le goût sont bien développés et l’ouïe aussi.

    Reproduction : Les geckos mâles sont pourvus d’hémipénis, c'est-à-dire de deux pénis semi-rigides logés à la base de la queue. Ils utilisent l'un de ces hémipénis pour féconder la femelle. L'accouplement peut durer de quelques minutes à quelques heures, mais la moyenne se situe plutôt autour d'un quart d'heure.
    Chez de nombreuses espèces, le mâle immobilise la femelle durant l'accouplement, généralement en la mordant au niveau de la nuque – ce qui peut parfois entraîner des blessures chez les espèces ayant une peau fragile.<o:p></o:p>

    La plupart des espèces sont ovipares, c'est-à-dire qu'elles pondent des oeufs, mais quelques-unes sont ovovivipares et laissent les œufs se développer dans leur corps (ceci est l'apanage des espèces vivant dans des milieux froids, où les œufs auraient peu de chances de se développer).

    Les pontes sont souvent précédées d'une période de jeûne, car les œufs compriment les voies digestives. Selon les espèces les femelles pondent sur ou dans le sol, ou encore sur un support comme une plante ou une branche. Chez certaines espèces les œufs sont collés au support, et il est impossible de les déplacer sans les briser. Les œufs sont en général pondus par deux, et ce de deux à plus de six reprises au cours de la saison chaude.

    Les œufs peuvent avoir une coquille dure ou molle. Au-delà d'un certain développement, un retournement de l'œuf cause la mort de l'embryon qui est fixé à la coquille.
    Après la ponte, la grande majorité des espèces se désintéresse des œufs, et les petits sont autonomes à la naissance. Il existe cependant quelques espèces qui veillent sur les œufs (mais pas sur les petits), mais cela reste marginal. Bon nombre d'espèces n'hésitent d'ailleurs pas à consommer les petits de leur propre espèce si l'occasion se présente.

    Temps d’incubation : L'incubation est de durée très variable, allant de moins d'un mois à quatre mois selon les espèces. Cette durée varie également en fonction des conditions climatiques, et en particulier de la température externe.<o:p></o:p>

    Durée de vie : de 3 à 20 ans environ

    Petit : Il est à noter que chez certaines espèces le sexe des petits est conditionné par la température d'incubation. Il existe pour ces espèces une température pour laquelle on obtient autant de mâles que de femelles. Au dessus (ou en dessous selon les espèces) la probabilité d'obtenir des femelles augmente, et en dessous (resp. au dessus) la probabilité s'inverse. La croissance des petits est très rapide. Après une courte période sans manger – en général jusqu'à la première mue qui a lieu la première semaine de vie – les petits se développent rapidement pour obtenir une taille quasiment adulte à l'issue de leur première année (même si les reptiles continuent à grandir tout au long de leur vie). La maturité sexuelle se produit en général à cet âge-là également.

    Prédateurs : Ils sont la proie des serpents, des oiseaux, des caméléons, de petits mammifères carnassiers.

    Cri : Certains geckos asiatiques émettent des claquements puissants rappelant le son « ge-ko », ce qui a valu leur nom à l’ensemble de ces petits lézards.

    Autre : Les geckos sont étonnants dans leur parfait mimétisme avec l'environnement. Il est très difficile de les remarquer tant ils savent se camoufler. Le gecko à queue spatulée qui a une forme inhabituelle est l'un de ses maîtres en camouflage.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Gecko, petit lézard habitant principalement les régions tropicales du globe.

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    2- Caractéristiques<o:p></o:p>

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    Ils possèdent une tête large et aplatie et une queue épaisse. Leur peau est recouverte de minuscules écailles bosselées. Chez la plupart des espèces, chaque œil est pourvu d'une membrane transparente que l’animal nettoie à l'aide de sa langue épaisse et collante. Les femelles pondent habituellement deux œufs blancs à coquille dure.

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    Les geckos se nourrissent d'insectes nuisibles que l'on rencontre dans les maisons. Ils peuvent grimper sur des surfaces parfaitement lisses, car chacun de leurs doigts est équipé d'un disque formé de cavités créant un effet de succion. On les aperçoit souvent la nuit, courant le long des plafonds. Ce sont les seuls lézards qui émettent d'autres sons qu'un simple sifflement.

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    Bien qu'ils soient connus dans certaines régions sous le nom de lézards poisons, les geckos ne sont pas venimeux.

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    3- Diversité <o:p></o:p>

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    On connaît environ 800 espèces de geckos. Le tokay d'Asie du Sud-Est est le plus gros des geckos actuels. Il émet trois sons d'appel très bruyants et est souvent vendu comme animal de compagnie. Décrit en 2001, le plus petit gecko du monde, le jaragua sphaero, vit dans l’île Beata (République dominicaine) des Caraïbes. Il mesure à peine 1,6 cm, ce qui en fait également le plus petit reptile connu, et même le plus petit représentant du groupe des vertébrés amniotes (reptiles, oiseaux, mammifères) — quelque 23 000 espèces identifiées à ce jour.

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    Trois espèces vivent dans les régions tempérées chaudes du sud de la France : la tarente, l'hémidactyle et le phyllodactyle.


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