• *M*

    Liste : méduse ; moule


    Méduse<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Méduse (une)

    Embranchement : Cnidaires

    Sous-embranchement : Méduzozoa<o:p></o:p>

    Classe : Scyphozoaires

    Taille : La taille des méduses est très variable : de quelques centimètres à des tailles pouvant atteindre 2 m de diamètre et leurs bras pouvant avoir plus de 40 m de longueur.<o:p></o:p>

    Poids : Très variable

    Nourriture : La méduse adulte n’a pas besoin de chasser pour se nourrir puisqu’elle vit au milieu de ses aliments. La méduse est en fait un piège à nourriture mobile, étant donné que des êtres planctoniques sont constamment en contact avec son corps et deviennent paralysées sous l’effet de ses cellules urticantes. Ils sont ensuite acheminés jusqu’au bord de la méduse par des cils, c’est à dire de minuscules soies mobiles. Là, les quatre lobes de la bouche prélèvent la nourriture et la transportent dans l’estomac le plancton sera digéré lentement. L’aliment digéré est visible à travers la méduse dans des canaux colorés de pourpre. En revanche, la jeune méduse est un chasseur beaucoup plus actif avant qu’elle n’atteigne 2 centimètres. Elle capture même des petits poissons et des petits crustacés avec les lobes de sa bouche. Mais une fois les 2 centimètres de diamètre dépassés, la méduse se laisse flotter et emporter par les courants, attendant simplement que des proies viennent se coller à elle.

    Milieux : Peu d’espèces vivent dans les zones polaires. La plupart préfèrent les eaux tempérées ou chaudes, à des profondeurs variables ( 600, 2000 m…) et a des distances plus ou moins proches des côtes.<o:p></o:p>

    Défense : Son corps possède des cellules urticantes capables de paralyser ses proies ; et de ce fait son poison est uniquement destiné aux êtres planctoniques portés par les eaux littorales. Lorsque la méduse entre en contact avec un autre animal, un tube fin enroulé en spirale sort de la cellule urticante et perce la peau de l’autre animal. L’extrémité de ce tube éclate alors à l’intérieur de l’animal en libérant un poison capable de paralyser. La méduse utilise son poison sur l’homme uniquement dans un but défensif.

    Reproduction : Les méduses sont ovipares. Il n’y a pas d’accouplement, car la fécondation est externe. Mâles et femelles émettent leurs spermatozoïdes et ovules dans l’eau. Ceux-ci fusionnent dans l’eau et donnent un œuf. La glande sexuelle de la méduse est appelée gonade. Certaines espèces incubent leurs œufs. Dans ce cas, les bras oraux de la femelle ont de petites poches qui servent de chambres incubatrices.

    Durée de vie : Variable suivants les espèces mais au moins un an en moyenne.

    Petit : Les œufs ainsi créés donneront naissance à des larves appelées planula. La planula est entièrement recouverte de cils qui l’aident à se propulsent  jusque sur les lobes de la bouche de sa mère. C’est accroché à ces lobes, par là où la nourriture passe, que les planulas vont grandir jusqu’à pouvoir nager toutes seules en pleine mer. Une fois qu’elle quitte la bouche de la mère, la planula va se fixer à un rocher ou bien à une algue. C’est là que la planula se transforme en polype avec des tentacules. Elle grandit ainsi jusqu’à ce que des sillons apparaissent autour de son corps. Ces sillons se creusent et le polype en vient à ressembler à une pile d’assiettes. Le bloc du dessus bourgeonne avant de se détacher et de se transformer en larve appelée éphyra. C’est cette éphyra qui au fil du temps va devenir une méduse adulte.

    Autre : Son corps, qui est une masse de gélatine, appelé mésoglée, est constitué de collagène et contient environ à 95% d’eau. C’est pour cette raison que, lorsqu’une méduse s’échoue sur une plage, elle « fond » en quelques heures. La méduse n’a pas d’organes propres pour respirer. Aussi absorbe t-elle l’oxygène par la bouche et la peau.

    La méduse possède des cellules photosensibles qui lui permettent de voir. Pour avancer, la méduse contracte son corps gélatineux qui projette un jet d’eau et la propulse. Et pour freiner ou s’arrêter, elle redéploie son ombrelle qui fait office de « parachute ». Au moment de sa progression, la méduse a les tentacules et les bras oraux allongés dans le sens du déplacement.
    Elle peut atteindre une vitesse de 55 mètres à l’heure.

    D’énormes méduses auraient été signalées dans le Pacifique. Ainsi, en 1973, un cargo « le Kuranda »se trouvait au large de Sydney. Il fut presque recouvert par une vague et se retrouva avec, sur le pont, une gigantesque masse gélatineuse, qui aurait pesé dans les 20 tonnes d’après les marins. Il s’agissait d’une énorme méduse. Ses tentacules, dont certains atteignaient 60 m, fouettèrent furieusement le pont et enlacèrent la salle des machines. L’un deux frappa mortellement la vigie. Le Kuranda envoya un S.O.S, et un autre navire arriva à sa rescousse. Son équipage put rejeter le fantastique animal à la mer à l’aide de puissantes lances à incendie.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Méduse, animal invertébré marin, représentant la forme libre de nombreux cnidaires, et plus particulièrement de ceux du groupe des scyphozoaires. En effet, le cycle de vie des cnidaires est caractérisé par l'alternance de deux phases, une phase libre, la phase méduse, et une phase fixée, la phase polype. Chez les scyphozoaires, c'est la phase méduse qui domine le cycle de vie. Comme tous les cnidaires, les méduses portent des cellules urticantes, qui peuvent être très douloureuses au toucher. Le venin de certaines espèces tropicales peut tuer un homme. Sur les côtes australiennes, l'espèce Chironex fleckeri, appelée guêpe de mer, est réputée pour être plus redoutable que les requins eux-mêmes.

    <o:p> </o:p>

    2- Anatomie et comportement<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les méduses ont une anatomie très simple, la paroi de leur corps étant constituée de deux couches de cellules entourant une substance gélatineuse. Elles ont généralement la forme d'une cloche. Leur bouche s'ouvre au centre de la partie inférieure ; elle est entourée de bras ou tentacules, au nombre de 4 ou d'un multiple de 4. Le corps présente une symétrie radiaire (c'est-à-dire une symétrie par rapport à un axe central, d'où rayonnent les tentacules) à laquelle se superpose la symétrie d'ordre 4 visible dans le nombre et la disposition des tentacules. Les proies sont généralement capturées à l'aide des tentacules qui portent les cellules urticantes. La reproduction sexuée des méduses donne des larves nageuses, qui se fixent à un substrat et se transforment en polypes. Les polypes génèrent de nouvelles méduses par reproduction asexuée.

    <o:p> </o:p>

    Les méduses se déplacent en contractant les muscles bordant leur corps. La plupart nagent très lentement ou sont transportées passivement par les courants. Cette caractéristique les range parmi les représentants du plancton marin. Leur transparence provient en partie du fait que leur corps contient très peu de substances organiques, le reste étant constitué d'eau.


    Moule<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Moule (une)

    Embranchement : Mollusques

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Bivalves

    Sous- classe : Ptériomorphes

    Ordre : Mytiloïdes

    Famille : Les moules marines appartiennent à la famille des Mytilidés, les moules d'eau douce à celle des Unionidés.

    Taille : La taille varie selon les espèces, jusqu’à une quinzaine de centimètres environ.

    Poids : Le poids de la moule varie suivant les espèces.

    Nourriture : La moule filtre jusqu'à dix litres d'eau par heure, ses membranes retiennent le plancton qui est ensuite digéré.

    Milieux : On trouve des moules d'eau douce dans les rivières d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. La moule marine se fixe aux rochers sur les rivages.

    Reproduction : Puisque les moules sont incapables de se déplacer, elle ne peuvent s'accoupler facilement. Pour la reproduction, elles dépendent donc des courants marins. Lorsque deux moules se retrouvent un à côté de l'autre, ils peuvent alors se reproduire.<o:p></o:p>

    Les gonades*, qui sont au nombre de deux, sont situées dans la bosse de Polichinelle. Chez la moule il y a gonochorisme : les gonades sont blanchâtre chez les mâles et jaune-orangé chez les femelles. Les gonoductes s'ouvrent de part et d'autre de la masse viscérale entre le pied et les lamelles branchiales, et la fécondation est externe.

    *gonade : organe destiné à la reproduction.

    Durée de vie : Variable selon les espèces, 4 à 5 ans en moyenne, jusqu’à 15 ans environ.

    Autre : Si sa larve planctonique est mobile, la moule adulte est un animal fixé à son support par le byssus, et donc ne se déplace presque pas. Elle peut se déplacer, mais très lentement, grâce à son pied. Le pied va sécréter un liquide (le byssus), une sorte de colle biologique qui se polymérise rapidement avec l'eau formant des filaments très résistants la reliant au support sur lequel elle vit.

    La moule est probablement recherchée et mangée par l'Homme depuis la préhistoire. On connait sur certains littoraux d'Amérique du sud des amas considérables de millions de coquilles vides laissées par les amérindiens qui les mangeaient. Ils semble que la coquille de moule qu'on a trouvé sur divers chantiers de fouille préhistorique ait d'ailleurs également très tôt pu servir de cuillère. Un amas de coquilles de moules d'eau douce a été trouvé sur le site préhistorique de Baurieux-la-Plaine dans le Nord de la France, avec des vases et des pointes de flèches.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Moule, nom courant de plusieurs espèces de mollusques bivalves, marins ou d'eau douce proches des huîtres et des coquilles Saint-Jacques. Les moules ont des branchies à structure très particulière.

    <o:p> </o:p>

    La moule marine commune est très appréciée pour la consommation et comme appât pour la pêche. Il existe une espèce marine plus grande mais non comestible. Un grand nombre d'entre elles sont commercialement importantes. Les moules forment des perles, pour la plupart peu précieuses et utilisées en joaillerie bon marché. Les moules sont très sensibles aux polluants chimiques. Certaines espèces sont devenues ravageuses : depuis le milieu des années 1980, la moule Dreissena polymorpha, originaire de la mer Caspienne, a pullulé dans plusieurs lacs et cours d'eau et menace l'environnement et l'économie.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique