• *D*

    Liste : daurade ; diodon ;


    Daurade<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Daurade (un)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés<o:p></o:p>

    Super-classe : Ostéichtyens<o:p></o:p>

    Classe : Actinoptérygiens

    Sous- classe : Néoptérygiens

    Infra-classe : Téléostéens

    Super-ordre : Acanthoptérygiens<o:p></o:p>

    Ordre : Perciformes

    Famille : Sparidés

    Genre : Sparus<o:p></o:p>

    Taille : Quelques formes sont petites, d’autres, de taille moyenne, peuvent atteindre jusqu’à 70 cm.<o:p></o:p>

    Poids : Environ 6 à 7 kg.

    Nourriture : La daurade se nourrit principalement de crustacés et de mollusques.

    Milieux : Elle vit près des côtes des mers tropicales et tempérées, abondant dans les eaux européennes et américaines.<o:p></o:p>

    Reproduction : La daurade est une espèce « hermaphrodite successive protandre », ce qui veut dire, plus simplement, qu'une même daurade est d'abord mâle, puis femelle. La dorade pond ses oeuf dans un "nid" creusé par le mâle et qui se chargera aussi de la garde. Une femelle peut pondre 200 000 d'œufs par kg de son poids.<o:p></o:p>

    Temps d’incubation : <o:p></o:p>

    Durée de vie : La durée de vie de la daurade est d’environ 10 ans.

    Petit: Les oeufs d'environ 0,9 mm de diamètre donnent naissance à des larves minuscules (moins de 3 mm) dont le poids n'excède pas quelques dixièmes de milligrammes. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Daurade, poisson carnivore, hautement apprécié pour la finesse de sa chair. La daurade ou dorade a six dents pointues disposées sur une rangée, suivies de plusieurs rangées de petites dents, puis, tout à fait en arrière, de grosses molaires. Les yeux sont placés haut. Les nageoires dorsale et anale sont sensiblement semblables.


    Diodon<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Diodon (un)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés<o:p></o:p>

    Super-classe : Ostéichthyens<o:p></o:p>

    Classe : Actinoptérygiens

    Sous- classe : Néoptérygiens<o:p></o:p>

    Infra-classe : Téléostéens<o:p></o:p>

    Super-ordre : Acanthoptérygiens

    Ordre : Tétraodontiformes

    Famille : Diodontidés<o:p></o:p>

    Genre : Diodon<o:p></o:p>

    Taille : Ces poissons ont une longueur située entre 30 et 50 cm de long.<o:p></o:p>

    Poids : En kilos.

    Nourriture : Le diodon mangent des oursins, des mollusques, des crabes, des bernard-l'hermite.

    Milieux : C’est un poisson des mers tropicales et des récifs de coraux.<o:p></o:p>

    Défense Lorsqu'ils se sentent en danger, les diodons se gonflent pour effrayer leur agresseur. En fait ils gonflent en accumulant de l’air ou de l’eau dans leur œsophage jusqu'à prendre une forme sphérique. Les Diodons accumulent une toxine, appelée étrodotoxine, dans tous leurs organes, à l'exception de leurs muscles, qui les rendent mortellement vénéneux. Cette toxine est donc une arme supplémentaire, pour décourager d’éventuels prédateurs.

    Reproduction : Comme chez la plupart des poissons, les poissons porc-épic ne s’accouplent pas. La femelle dépose des milliers d’ovules près du fond. Ils sont aussitôt fécondés par le mâle.

    Durée de vie : 15 à 20 ans.

    Autre : Seuls les grands maîtres cuisiniers japonais savent le disséquer et préparer ainsi le Fugu, très réputé gastronomiquement, avec néanmoins un arrière-goût de risque. Des négligences dans la préparation du poisson occasionne chaque année plus de 100 décès au Japon. Le diodon utilise des jets d'eau pour rechercher les animaux enfouis dans le sable ou retourner les oursins afin d'exposer leur zone buccale non protégée.

    <o:p> </o:p>

    1-Présentation <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Diodon, ou porc-épic, poisson dont le corps trapu est couvert d’épines, normalement souples chez les espèces les plus grandes, mais dressées en permanence chez les plus petites. Quand ils sont en danger, ils peuvent avaler de l’eau ou de l’air, si bien que le corps se gonfle en une boule hérissée menaçante. Les dents de la mâchoire supérieure sont soudées, de même que celles de la mâchoire inférieure, ce qui donne à la bouche l’aspect d’un bec qui leur permet de se nourrir de coraux et de mollusques. La peau est habituellement tachetée.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique