• *T*

    Liste : triton ;


    Triton<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    1) Triton alpestre :<o:p></o:p>

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    Taille : 6 à 12 cm queue comprise (mâles 6-10 cm, femelles 7-12 cm).<o:p></o:p>

    Poids : 2-5 grammes

    Nourriture : Les proies sont constituées d'invertébrés très divers. Les adultes consomment principalement des insectes, des crustacés et des vers, à l'occasion des têtards de batraciens. Au cours de la phase larvaire, les crustacés planctoniques seraient un aliment majeur avec des larves et petits invertébrés divers, souvent de moins de 1 mm.

    Milieux : Ce triton à caractère forestier peut s'adapter à des milieux très différents, y compris les lieux fort ombragés, pauvres en végétation, de dimensions et de profondeur minime (parfois quelques cm) : mares, petits étangs, drains, ornières, petites rivières à courant lent, bassins de jardins (c'est le triton qui les colonise le plus facilement). Le Triton alpestre une espèce tolérante sur le plan des températures, s'adaptant aux eaux froides. Sa relative mobilité lui confère un caractère pionnier.

    Prédateurs : Comme ses congénères, le Triton alpestre entre dans le régime alimentaire de nombreux animaux (rapaces, oiseaux d'eau, mammifères,...); les larves sont également capturées par de grands insectes (dytiques, larves de libellules). Les prédateurs, comme les épinoches, les perches ou les truites par exemple peuvent exercer une pression prédatrice très importante. Dans les étangs, diverses parasitoses et pertes d'origine fongique peuvent annihiler des reproductions entières.

    Menaces : La destruction de ses biotopes ou une gestion qui les altère et les banalise est une menace générale et constante même si elle doit être relativisée vu l'adaptabilité de l'espèce. Ce triton ubiquiste et pionnier se satisfait en effet de sites de reproduction et d'hibernation très divers. Dans les milieux terrestres, la disparition des petits éléments paysagers, la rareté des abris, la gestion excessive des bords des routes et le recouvrement de chemins de terre figurent parmi les sources de problèmes pour l'espèce. Dans les milieux aquatiques, sont notamment visées les pertes de sites et les sources de pollution. La réduction de ses habitats peut conduire à une fragmentation de son aire de répartition et par conséquent à l'isolement de certaines de ses populations, compte tenu des faibles capacités de dispersion. Dans les sites de reproduction, l'introduction et l'entretien de fortes charges en poissons pose problème par suite de prédations et d'une altération profonde des sites (eaux turbides, consommation de la végétation et de la petite faune aquatique). Ceci inclut les piscicultures mais aussi tous les sites privés, entre autres les mares de jardin souvent surpeuplées de poissons d'ornement. Ce triton pourrait toutefois être le plus tolérant de son genre face à ce problème, du moins jusqu'à un certain seuil de densité piscicole. Le trafic routier est un problème jugé secondaire.

    Autre : <o:p></o:p>

    Adultes : Le critère de détermination le plus caractéristique est la coloration ventrale orange - rouge, sans taches. La gorge est généralement unie, mais peut parfois être tachetée. En livrée nuptiale, les mâles arborent une crête dorsale jaune et noire à marge lisse comprenant des rayures ou des taches noires allant de la nuque à l'extrémité de la queue. Le dos est bleu ardoisé, les flancs bleuâtres à gris soulignés d'une bande blanc argentée ponctuée de macules noires dont le patron peut faire penser à un dessin en forme de treillis. Les femelles sont dépourvues d'une crête dorsale et de la bordure bleu ciel sur les flancs ; leur dos est marbré de clair et foncé.En phase terrestre, les individus sont de teinte sombre et les deux sexes peuvent facilement être confondus mais la coloration de la face ventrale reste identique toute l'année.

    Larves : Les larves mesurent 7 à 8 mm au moment de l'éclosion et atteignent 4 à 6 cm en fin de métamorphose. La face dorsale est plus sombre que celle des autres tritons indigènes. L'extrémité de la queue, obtusément pointue se termine par un appendice en forme de pointe.<o:p></o:p>

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    2) Triton crêté :<o:p></o:p>

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    Taille : mâle 10 - 14 cm, femelle 11 - 18 cm.<o:p></o:p>

    Poids : 6-15 grammes, les mâles plus légers que les femelles.

    Nourriture : Très vorace, il se nourrit de petits invertébrés et secondairement de têtards et de larves d'autres tritons. A terre, il consomme des mollusques, des lombrics, des crustacés et des insectes. Les larves se nourrissent d'invertébrés de tailles croissantes au fil de leur développement, accessoirement de larves des autres urodèles.

    Milieux : Plus exigeant que les autres espèces, il vit dans les mares, les étangs et fossés de préférence assez profonds, riches en végétation aquatique, bien ensoleillés et dont l'eau est de ce fait relativement chaude. Ses sites de reproduction ont des eaux au pH proche de la neutralité et sont souvent riches en calcium ; ils peuvent supporter des charges en nitrates assez élevées. Sa répartition suit en général les grandes vallées ouvertes. Il y occupe de petits sites dans un environnement de prairies, haies et lisières. Il colonise aussi des sites récents comme les étangs de carrières, de briqueteries. Régulièrement l'espèce occupe des groupes de mares proches les unes des autres. Dans les sites favorables, ce triton cohabite avec d'autres espèces et plus d'une fois nos quatre tritons s'y trouvent ensemble. On le trouve rarement en milieu forestier.

    Prédateurs : Comme ses congénères, le Triton crêté entre dans le régime alimentaire de nombreux animaux (rapaces, oiseaux d'eau, mammifères, poissons prédateurs,...). La peau des larves contient des toxines qui les protègent vis-à-vis de certains prédateurs (les larves des autres tritons en sont dépourvues).

    Menaces : La destruction de ses biotopes ou une gestion qui les altère et les banalise est la menace majeure, d'autant plus que ce triton a des exigences écologiques supérieures aux autres espèces. La plupart des populations déclinent pour cette raison, au moins en Europe occidentale et certainement en Wallonie où plus de 10% des sites ont été perdus en une décennie. En cas d'altérations, il survit un certain temps dans des environnements très perturbés. La qualité des milieux terrestres est également d'importance dans un rayon de 100-400m autour des sites de reproduction : la réduction des prairies permanentes, une pression agricole intensive, la disparition des petits éléments paysagers, la rareté des abris, voire la gestion excessive des bords des routes sont autant de facteurs négatifs. L'évolution naturelle des mares de vallée conduit à leur disparition par atterrissement, sans compensation suffisante due à l'apparition ou au creusement de nouvelles. La poursuite de la réduction de ses habitats accentue la fragmentation déjà avancée de son aire de répartition et par conséquent l'isolement de ses populations, compte tenu des faibles capacités de dispersion. La plupart des noyaux de peuplement ou même des stations individuelles wallonnes sont déjà isolées les unes par rapport aux autres, donc sans possibilités de recolonisation. Dans les sites de reproduction, l'introduction et l'entretien de fortes charges en poissons sont un problème sérieux car il génère des prédations et une altération profonde des sites (eaux turbides, consommation de la végétation et de la petite faune aquatique). Le trafic routier est un problème jugé secondaire. Le Triton crêté est une espèce spectaculaire, ce qui l'expose à des prélèvements illégaux.

    Autre : <o:p></o:p>

    Adultes : tritons de grande taille, à peau verruqueuse très caractéristique. En livrée nuptiale, le mâle a le dos et une partie des flancs bruns foncé marbrés de taches noirâtres ; les flancs, la tête, parfois les pattes sont vermiculés par de petites taches blanches et noire ; la face ventrale est jaune orangé avec de grosses taches noires irrégulières. Cette caractéristique permet des reconnaissances individuelles. A cette saison, il arbore une haute crête dorsale dentelée sur le dos et s'arrêtant net au niveau de la région pelvienne. Sa queue est comprimée, légèrement dentelée et traversée d'une bande blanche bleuâtre médiane. La femelle se différencie principalement par l'absence de crête dorsale et par des couleurs plus ternes.

    Larves : assez grandes (6-8 cm) comparées aux larves des autres tritons, elles possèdent des pattes assez grêles et un filament bien visible prolongeant la queue.<o:p></o:p>

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    3) Triton palmé :<o:p></o:p>

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    Taille : C'est le plus petit de nos tritons. Les femelles peuvent atteindre 9 cm de long, les mâles mesurent 7 à 8 cm<o:p></o:p>

    Poids : 2-4 grammes.

    Nourriture : Les Tritons palmés se nourrissent de divers invertébrés de petite taille. En phase aquatique, ils se nourrissent également d'embryons d'autres espèces amphibiens.

    Milieux : Le Triton palmé a une grande amplitude écologique dans une grande partie de son aire de répartition. Vers le nord, en Belgique notamment. On le trouve donc dans des milieux très différents comme des bassins artificiels, des sources naturelles, des mares exposées ou ombragées, des carrières, des ruisseaux,... mais souvent près ou dans des zones boisées. Les cours d'eau à fort courant ne sont pas fréquentés. Les sites de reproduction sont relativement profonds, assez ensoleillés et végétalisés, même si l'espèce peut se contenter de fonds couverts de vase et de matières végétales en décomposition.En-dehors de la période de reproduction, le Triton palmé est une espèce nocturne ou crépusculaire qui se réfugie sous des abris sombres et humides comme des souches en décomposition, des écorces, des amas végétaux, mais également des milieux bien plus urbanisés comme des friches industrielles par exemple. L'hibernation se fait dans l'eau ou à terre, dans les mousses, des galeries souterraines ou des vieilles souches.

    Prédateurs : La destruction de ses biotopes ou une gestion qui les altère et les banalise est une menace générale. Dans les milieux terrestres, ceci inclut entre autres les effets de l'intensification de l'agriculture, de la gestion des bords des routes et de certains chemins, basée sur la tonte répétée. Dans les milieux aquatiques, sont notamment visées les pertes de sites et les sources de pollution. La réduction de ses habitats peut conduire à une fragmentation de son aire de répartition et par conséquent à l'isolement de certaines de ses populations, compte tenu des faibles distances de dispersion. Dans les sites de reproduction, l'introduction et l'entretien de fortes charges en poissons pose un problème sérieux par suite de prédations et d'une altération profonde des sites (eaux turbides, consommation de la végétation et de la petite faune aquatique). Le trafic routier est un problème non négligeable car ce triton déplace lentement en marchant. Il met donc plus longtemps qu'une grenouille pour traverser une route. De ce fait, les taux de mortalité croissent rapidement avec l'importance du trafic routier.

    Menaces : Le Triton palmé entre dans le régime alimentaire de nombreux animaux : le renard, le blaireau, le putois, la martre, le hérisson, les hérons, les cigognes, les rapaces diurnes, la Chouette hulotte,... ; les larves sont capturées par de grands insectes (dytiques, larves de libellules). Les prédateurs, comme les épinoches, les perches ou les truites par exemple peuvent exercer une pression prédatrice très importante.

    Autre :

    Adultes : La coloration de fond est brunâtre à verte avec des taches foncées sur les flancs (plus nombreuses chez les mâles). La succession des taches peut être structurée de manière à former des lignes plus ou moins distinctes. La face ventrale est plus claire en son centre (jaune à orange) et s'assombrit latéralement vers les flancs. Une ponctuation est possible, mais pas au niveau de la gorge qui est de couleur chair rosée, à la limite de la transparence. Latéralement, des replis cutanés donnent au tronc une allure quadrangulaire. En période de reproduction, une fine crête se détache sans interruption du corps à la queue (mâles). Celle-ci se termine par un filament foncé de 4 à 7 mm chez les mâles. Ce filament caudal est absent ou rudimentaire chez les femelles. Les pattes postérieures s'assombrissent et sont fortement palmées chez le mâle. La coloration de la queue est légèrement orangée, bordée de part et d'autre par une rangée de taches foncées. Le cloaque du mâle est plus foncé. La tête est mouchetée de brun et est plus longue que large, le museau est arrondi. Quelques bandes longitudinales ornent la tête. L'une d'entre elles masque l'oeil.

    Larves : Les larves sont flanquées de treize sillons longitudinaux sur chaque flanc. Le corps et la queue sont pourvus d'une crête continue. Le corps est au moins aussi long que la queue. Les jeunes larves ont la face dorsale relativement claire, d'un jaune brunâtre finement et densément ponctué de taches foncées, avec une ligne vertébrale foncée. Les flancs sont jaunâtres avec des taches argentées et sont surlignés d'une bande longitudinale foncée. Les larves plus âgées sont dorsalement plus foncées (brun olive) et leur ventre est plus argentées. La gorge n'est pas pigmentée. Les jeunes mesurent 3 à 4 cm en fin de métamorphose.

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    4) Triton vulgaire :<o:p></o:p>

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    Taille : triton de taille moyenne : 6 à 11 cm ; contrairement à d'autres batraciens, le mâle est plus grand que la femelle.<o:p></o:p>

    Poids : adulte 2 à 5 grammes.

    Nourriture : Le régime alimentaire est composé de vers et de diverses larves d'insectes terrestres ou aquatiques. Un des facteurs déterminant pour la réussite reproductive de cette espèce serait la présence ou non d'autres larves d'amphibiens, qui constituent une part importante de son régime alimentaire.

    Milieux : Le Triton ponctué est une espèce des régions de plaine et de collines. Pour se reproduire, il cherche des eaux stagnantes, plutôt ensoleillées, souvent profondes de 20-80 cm et avec, de préférence, une végétation immergée et rivulaire bien développée. Il ne se trouve qu'en petit nombre en milieu forestier et au bord de cours d'eau lents. De nombreuses mares et petits plans d'eau (y compris des mares de jardin) peuvent l'accueillir, d'autant plus que la limpidité de l'eau ne semble pas primordiale et qu'il tolère des sites sans végétation immergée pourvu qu'un fond vaseux serve d'abri. Il semble plus tolérant que d'autres batraciens quant au milieu terrestre. A terre, les milieux favorables sont bien ensoleillés et généreusement pourvus en végétation : il s'agit donc d'une espèce de milieux ouverts. S'ils ne sont pas aquatiques, les sites d'hivernage se composent de cavités souterraines diverses et d'abris sous des souches, des bois ou autres.

    Prédateurs : Comme ses congénères, le Triton palmé entre dans le régime alimentaire de nombreux mammifères (renard, blaireau, putois, martre, hérisson,...), oiseaux (hérons, oiseaux d'eau y compris canards domestiques, rapaces diurnes et nocturnes,...) et poissons ; les larves sont capturées par de grands insectes (dytiques, larves de libellules). Dans les étangs, diverses parasitoses et pertes d'origine fongique peuvent annihiler des reproductions entières.

    Menaces : La destruction de ses biotopes ou une gestion qui les altère et les banalise est une menace générale. Dans les milieux terrestres, ceci inclut entre autres les effets de l'intensification de l'agriculture, de la gestion des bords des routes et de certains chemins, basée sur la tonte répétée. Dans les milieux aquatiques, sont notamment visées les pertes de sites (comblements divers) et les sources de pollution. Le Triton ponctué fréquente volontiers les régions de culture : il est donc particulièrement confronté aux diverses menaces d'origine agricole, notamment celles liées aux remembrements, aux pertes d'habitats prairials, au traitement destructeur des bordures de voiries, aux contaminations chimiques et à celles dues aux polluants organiques,...

    La réduction de ses habitats peut conduire à une fragmentation de son aire de répartition et par conséquent à l'isolement de certaines de ses populations, compte tenu des faibles distances de dispersion. Une attention particulière est à porter aux régions irrégulièrement occupées (Haute Belgique) et où la pression humaine est maximale Dans les sites de reproduction, l'introduction et l'entretien de fortes charges en poissons pose un problème sérieux par suite de prédations et d'une altération profonde des sites (eaux turbides, consommation de la végétation et de la petite faune aquatique). Le trafic routier est un problème mal évalué, a priori non négligeable puisqu'il s'agit d'une espèce lente.

    Autre :

    Adultes : En période de reproduction, le mâle arbore une large crête ondulée ou lobée qui court de la tête au bout de la queue. Des taches sombres, rondes, recouvrent la face dorsale, les flancs, le ventre et la gorge. Le bord de la queue et du corps est généralement orange à rouge surligné par une zone délicatement bleutée. La coloration générale du mâle est bien plus chatoyante que celle de la femelle. Celle-ci a une crête discrète qui se limite à une membrane natatoire légèrement développée au niveau de la queue. Les orteils des mâles sont déprimés et bordés d'une frange cutanée. La tête est aussi large que longue. En phase terrestre et en tous temps pour les femelles, la couleur de fond est brun clair à jaune avec des taches noires qui s'étendent jusqu'à la face ventrale et la gorge.

    Larves : Les larves sont brun jaunâtre ou brun verdâtre et possèdent une crête qui s'élève de la moitié du corps jusqu'au bout de la queue. La longueur du corps est généralement égale ou supérieure à celle de la queue. La face supérieure est foncée chez les mâles et plus claire chez les femelles.<o:p></o:p>

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    5) Toutes les espèces :<o:p></o:p>

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    Nom : Triton (un)<o:p></o:p>

    Classe : Reptiles<o:p></o:p>

    Ordre : urodèles<o:p></o:p>

    Famille : salamandridés<o:p></o:p>

    Reproduction : Pendant la période de reproduction, le mâle, qui n’émet aucun son, attire la femelle en repliant sa queue sur son corps et en la frétillant très rapidement. Plusieurs mâles peuvent attirer la même femelle. Une lutte acharnée peut alors commencer. Le mâle vainqueur restera alors près de la femelle jusqu’à la fécondation. La femelle, comme tous les tritons, pond ses oeufs un à un et les dépose sur les feuilles puis elle replie celle-ci sur l’oeuf avec ses pattes arrière. Les œufs sont ainsi enroulés dans une feuille et protégés. Il ne faut donc pas arracher de plantes pendant cette période sous peine de détruire les œufs.

    Temps de gestation : <o:p></o:p>

    Durée de vie : 12 à 15 ans

    Autre : Le triton mâle met du sperme dans l'étang pour que la femelle le prenne. Grâce à sa queue il se déplace très rapidement dans l'eau. Quand le temps est sec le triton sentira une place fraîche. Le triton a une peau toxique  donc les autres animaux qui veulent le manger recrachent sa peau.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Triton (zoologie), petit amphibien de forme allongée possédant une queue aplatie adaptée à la vie aquatique.

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    2- Mode de vie et reproduction<o:p></o:p>

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    Les tritons sont carnivores et vivent dans les eaux douces de l'hémisphère Nord. La parade nuptiale a lieu dans l'eau. Le mâle, très coloré, dépose une masse de spermatozoïdes au fond de l'eau et danse autour de la femelle pour l'inviter à s'en saisir. La femelle introduit ces spermatozoïdes dans son cloaque : la fécondation est donc interne, sans qu'il y ait accouplement. La femelle fixe ses œufs à un support : plante aquatique ou rocher. Les larves sont semblables aux adultes, mais plus petites et incolores. Elles ont des branchies qu'elles perdront lors de la métamorphose.


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    Liste : alligator ; anaconda ;


    Alligator<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Alligator (un)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés<o:p></o:p>

    Classe : Reptiles

    Ordre : Crocodiliens

    Famille : alligatoridés

    Genre : Alligator<o:p></o:p>

    Taille : Moins d’1.5 m pour l’alligator de Chine et de 2 à 6 m pour l’alligator du Mississipi.<o:p></o:p>

    Poids : Pour l’alligator du Mississipi 200 à 225 kg  donc beaucoup moins pour l’alligator de Chine qui mesure 3 fois moins que son cousin d’Amérique.

    Nourriture : Les alligators se nourrissent de poissons, de grenouilles, de serpents, de tortues, d'oiseaux, de mammifères et même de charognes. Ils ont également la réputation de s'attaquer à l'Homme.

    Milieux : L'alligator du Mississippi vit surtout dans les marais d'eau douce, les lacs et les bayous, au sud-est des États-Unis, mais on le rencontre à l'ouest jusqu'au Rio Grande. L'alligator chinois peuple le bassin du Yang-tseu-kiang en Chine.<o:p></o:p>

    Défense : Leur mâchoire est très puissante.

    Sens : Les crocodiles sont bien adaptés au milieu aquatique : les narines, oreilles et yeux sont regroupés au sommet du crâne. Ainsi demeurent-ils à l’affût, dans l’eau, tous sens en éveil, quasi invisibles. Leurs yeux perçoivent les couleurs et sont recouverts par trois paupières. Ils ont une bonne vue de nuit, mais, étrangement , sous l’eau, les crocodiliens ont une vision relativement faible. Quand le crocodile est en plongée, l’oeil est protégé par une paupière transparente, les narines sont fermées hermétiquement par un muscle. L’oreille, située derrière l’oeil, est protégée par une grosse écaille. L’ouïe et l’odorat sont aussi très développés chez le crocodile.<o:p></o:p>

    Reproduction : Lorsque les alligators recherchent un partenaire, ils vagissent fréquemment pour signaler leur présence. Ils repoussent également les intrus par un rituel de sifflements et de soufflements, gueule grande ouverte. La parade amoureuse est relativement calme. Après l'accouplement, le mâle retourne sur son territoire, tandis que la femelle construit un nid de boue et de plantes dans les environs, à l'abri des inondations. Les œufs, de trente à soixante par couvée, sont recouverts de boue et incubés par la chaleur du soleil, pendant que la femelle monte la garde.

    Temps d’incubation : 60 jours<o:p></o:p>

    Durée de vie : Environ 50 ans.

    Femelle : La femelle s'occupe des jeunes en les transportant dans sa gueule. Elle en prend soin jusqu'au printemps suivant.

    Petit : Les jeunes s’alimentent de petits crustacés et insectes, puis de grenouilles, serpents et poissons. A l’âge adulte, ils se nourrissent surtout de poissons et de petits mammifères.

    Menaces : L'alligator a été chassé pendant des années, pour le sport et pour sa peau, si bien que les populations avaient fortement décliné. Pour cette raison, il a été déclaré, en 1967, espèce menacée. Grâce à cette protection, il s'est fortement multiplié.

    Cri : Ils vagissent, sifflent et soufflent.

    Autre : Peu actifs, en journée, ils passent du temps à se faire chauffer au soleil. La nuit, ils s’immergent en bord de rive et attendent leur proie.

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    1- Présentation <o:p></o:p>

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    Alligator, reptile carnivore de l'ordre des crocodiliens. Les alligators possèdent un museau large, plat et rond, alors que les autres crocodiliens ont un museau long et pointu. Contrairement aux autres crocodiliens, leurs dents de la mâchoire inférieure ne sont pas visibles lorsque leur gueule est fermée.

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    Il n'existe que deux espèces d'alligator : l'alligator du Mississippi et l'alligator de Chine. Ce dernier est plus timide et beaucoup plus petit que l'alligator du Mississippi et considéré comme peu dangereux pour l'Homme. L’alligator du Mississipi est une espèce de grande taille dangereuse pour l'Homme.


    Anaconda<o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Anaconda (un)

    Embranchement : Chordés

    Classe : Reptiles

    Ordre : Squamates

    Sous-ordre : Serpents

    Famille : Boïdés

    Sous-famille : Boïnés

    Genre : Eunectes

    Taille : Pouvant mesurer jusqu’à 10 m de long.

    Poids : Un poids allant jusqu’à 500 kg.

    Nourriture : Il se nourrit de poissons, de tortues, d’oiseaux, de petits mammifères, mais n’hésite pas à s’attaquer à des proies aussi grosses que les caïmans ou les grands félins comme le jaguar.

    Milieux : Il vit dans la forêt dense, près des rivières et dans les zones marécageuses, du Venezuela à la Colombie et au Brésil. L’anaconda jaune vit plus au sud, de la Bolivie et du sud du Brésil jusqu’à l’Argentine.

    Défense : Il mordent et étouffent.

    Reproduction : Lorsqu'elle est sexuellement active, la femelle Anaconda, émet des phéromones qui attirent des dizaines de mâles qui se regroupent dans un entrelacs de corps grouillants, nommé « boule de reproduction ». Le mâle qui parviendra de haute lutte à lover son cloaque* contre celui de la femelle aura le droit de la féconder.

    *cloaque : orifice commun aux voies génitales, anales et urinaires de nombreux animaux <o:p></o:p>

    Temps de gestation : 5 à 6 mois<o:p></o:p>

    Durée de vie : 30 ans environ

    Autre : Les dents des anacondas sont orientées vers l'arrière de leur gueule. En se débattant, la victime ne fait qu'aggraver sa blessure. Les proies capturées sont étouffées par les puissants anneaux de ce serpent, puis avalées la tête la première. Il se sert de ses dents comme des crampons pour faire avancer la proie dans l’œsophage. Il digère ses proies grâce à de puissants sucs digestifs. Il lui faut 6 heures d'efforts pour arriver à avaler une proie aussi grosse qu'un capybara. Il somnole ensuite pendant 4 ou 5 jours pour digérer voire plusieurs semaines selon l'importance de la proie. Il est d’ailleurs très vulnérable pendant cette période.<o:p></o:p>

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    1- Présentation <o:p></o:p>

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    Anaconda, grand serpent d'Amérique du Sud de la famille des boas.

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    L’anaconda géant est l’un des plus grands serpents du monde. Très bon nageur, il possède de minuscules narines verticales qu’il peut obstruer complètement lorsqu’il est immergé. Comme le boa, l’anaconda tue ses proies par constriction, les enserrant dans ses puissants anneaux jusqu’à ce que celles-ci cessent de respirer.

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    Il est de taille plus modeste que l’anaconda géant : les plus grands spécimens connus mesurent 3,30 m de long.

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    Les anacondas sont ovovivipares : les œufs éclosent à l’intérieur du corps de la femelle, qui met au monde, après cinq à six mois de gestation, des jeunes développés. Ces derniers, au nombre d’une quarantaine par portée, mesurent déjà environ 70 cm de long chez l’anaconda géant.


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  • *B*

    Liste : boa ;


    Boa<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Boa (un)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Reptiles

    Sous- classe : Squamates

    Ordre : Squamates

    Sous-ordre : Serpents

    Famille : Boïdés

    Sous-famille : Boïnés

    Genre : Boa

    Taille : Selon les espèces de quelques dizaines de centimètres à environ 4 m.

    Poids : Plusieurs dizaines à plusieurs centaines de kilos.

    Nourriture : Il chasse surtout à la nuit tombée. Il peut repérer ses victimes grâce à un dispositif récepteur situé dans sa boîte crânienne, ultra sensible aux infrarouges.
    La précision de ce mécanisme est remarquable. Un boa adulte a une nette préférence pour les mammifères de bonne taille. Certaines espèces se nourrissent d’oiseaux. Une fois la proie repérée, il propulse sa tête à la vitesse de 36 km/h. Il abat alors ses puissantes mâchoires sur sa victime. Ses mâchoires sont pourvues de dents en crochets, non venimeux. Une fois bien maintenue, le boa peut étouffer sa proie puis l'avaler, de préférence la tête la première.<o:p></o:p>

    Milieux : Les boas viennent des pays de toute l’Amérique. Ils vivent en forêt ou dans les arbres.

    Défense : Il mord pour se défendre.

    Reproduction : Tous les boas sont ovovivipares. Les œufs sont maintenus à l’intérieur du corps de la mère jusqu’à l’éclosion. Ces conditions leur assurent une humidité constante et une température régulée. L’inconvénient de ce type de reproduction est que la femelle gestante est handicapée. Elle se déplace moins vite et doit se préoccuper davantage de la thermorégulation de son corps. Le nombre de petit varie selon les espèces de boa ainsi que la durée de gestation.<o:p></o:p>

    Temps de gestation : Plusieurs mois, en moyenne 4 ou 5.<o:p></o:p>

    Durée de vie : 15 à 20 ans en moyenne.

    Autre : Le boa mue comme tous les serpents.

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    1- Présentation<o:p></o:p>

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    Boa, serpent non venimeux. Comme tous les membres de cette famille, les boas sont des constricteurs, c’est-à-dire qu’ils tuent leur proie en l’étouffant, avant de l’avaler. Ils sont capables d’ouvrir grand leurs mâchoires pour ingérer des animaux très volumineux. Bien qu’un boa puisse facilement tuer un être humain, il n’est en général pas considéré comme dangereux pour l’Homme. Selon la taille de sa proie, un boa peut mettre plusieurs jours à digérer son repas. Si les plus grands serpents du monde appartiennent à cette famille, certains boas ne mesurent pas plus de 61 cm à l’âge adulte. La couleur et les motifs portés par les écailles de ces serpents sont très variés.

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    La famille des boas et des pythons comprend environ vingt genres et soixante-dix espèces. Ces serpents sont caractérisés par des os iliaques* bien développés et par les vestiges de pattes postérieures, qui ressemblent, vues de l’extérieur, à une paire d’éperons mobiles. Les boas et les pythons diffèrent sur plusieurs points, par exemple au niveau du squelette. De plus, les boas mettent leurs petits au monde, alors que les pythons pondent des œufs. Enfin, les pythons vivent essentiellement en Eurasie alors que les boas sont présents partout.

    *iliaque : de la partie latérale du bassin<o:p></o:p>

    Le boa le plus connu est sans doute le boa constricteur, que l’on rencontre dans la forêt vierge en Amérique latine. Les boas constricteurs sont gris tirant sur le rouge, rayés de larges bandes sombres. La taille moyenne d’un adulte est de 3 m, certains spécimens pouvant atteindre 4 m.

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    Le boa émeraude, de couleur vert vif, vit dans les arbres et possède une longue queue préhensile. Avec sa tête triangulaire, ses pupilles verticales et ses longs crochets recourbés, il ressemble aux vipères.

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    Certains boas plus petits, comme le boa caoutchouc, peuplent le sud-ouest des États-Unis. Ce boa, dont la peau d’un brun luisant évoque le caoutchouc, est un animal fouisseur. Comme sa tête est semblable à sa queue, on l’appelle parfois serpent à deux têtes.


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