• *UV*

    Liste : vélociraptor ;


    Vélociraptor<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Vélociraptor (un)

    Classe : Reptiles

    Ordre : Saurischiens

    Sous-ordre : Théropodes

    Super-famille : Coelurosauriens

    Famille : Droméosauridés

    Genre : Velociraptor mongoliensis<o:p></o:p>

    Taille : longueur : 1,80m

                  hauteur : entre 1,20 et 1,30m<o:p></o:p>

    Poids : environ 15kg.

    Nourriture : Le vélociraptor était carnivore. Il se nourrissait sans doute de tylocephales, oviraptors, protoceratops, saurolophus et de petits mammifères.<o:p></o:p>

    Milieux : L'habitat du vélociraptor se situait dans des forêts ou des zones semi-arides de l’Asie.

    Epoque : Il a vécut au crétacé supérieur, il y a environ 85 millions d'années.<o:p></o:p>

    Défense : Ses griffes et ses mâchoires.

    Sens : Le vélociraptor avait un très bon odorat.

    Découverte : Le premier squelette de vélociraptor a été découvert par Henry Fairfield Osborn (1857-1935) en 1924 en Mongolie Depuis, les scientifiques disposent d'au moins six squelettes identifiés, complets ou partiels, provenant de Mongolie ou de Chine.<o:p></o:p>

    Autre : Sa morphologie laisse à penser qu'il possédait une excellente vitesse de course, pouvant atteindre 60 km/h, et qu'il disposait de la vision tridimensionnelle. On a découvert récemment le fossile d'un animal proche du vélociraptor qui portait du duvet. Cela confirmerait la thèse selon laquelle les théropodes sont les ancêtres des oiseaux. Le vélociraptor possède de puissantes mâchoires portant environ 80 dents acérées.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation

    <o:p> </o:p>

    Velociraptor, littéralement « voleur rapide », dinosaure carnivore de taille moyenne ayant vécu en Asie.

    <o:p> </o:p>

    2- Caractéristiques<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Bipède et agile, il possédait de grandes pattes antérieures préhensiles munies de griffes. Il pouvait courir très vite, sa queue lui servant de balancier. Les longues griffes de ses pattes postérieures (le deuxième orteil portait, en particulier, une grosse griffe recourbée en forme de faucille) constituaient des armes redoutables pour ce féroce prédateur. Cette technique de chasse a été confirmée par la découverte d'un fossile de vélociraptor dont cette fameuse griffe se trouvait à l'emplacement du cou d'un protoceratops. On suppose que le prédateur et sa proie ont été brusquement ensevelis par un glissement de terrain en plein combat.

    <o:p> </o:p>

    Le Velociraptor est un proche parent du Deinonychus un peu plus ancien (tous deux appartiennent au groupe des droméosaures, mais 20 millions d'années les séparent). Il s'en distingue par sa taille plus modeste, son crâne long et bas (celui du Deinonychus est haut et court) et par sa griffe en forme de faux plus petite. Un observateur attentif pourra ainsi remarquer que les « Velociraptor » mis en scène dans la série des films Jurassic Park sont, en réalité, des Deinonychus.

     

    Pour plus d'informations : http://dinonews.net/index/velociraptor.php


    votre commentaire
  • *A*

    Liste : anémone de mer ; 


    Anémone de mer<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Anémone de mer (une)

    Embranchement : Cnidaires

    Sous-embranchement : Anthozoaires

    Classe : Anthozoaires

    Sous- classe : Zoanthariens

    Ordre : Actinaires

    Taille : La taille atteint de 1,25 cm à presque 2 m de diamètre.

    Poids : Le poids est variable selon les espèces. De quelques grammes à plusieurs kilos.

    Nourriture : Elles se nourrissent de planctons, de petites crevettes ou poissons.

    Milieux : L'anémone de mer vit principalement dans les zones infralittorale, là où il n’y a ni vents, ni glace, ni érosion, ni sécheresse, où la température reste constante, en bref, où les conditions sont plutôt stables. Il arrive parfois, cependant, que certaines anémones se fixent aux rochers de la zone médiolittoral, une double cloison leur permet alors de retenir un minimum d'eau nécessaire pour survivre jusqu'à la prochaine marée.<o:p></o:p>

    Défense : En cas d'agression, les anémones de mer sont capables de projeter des filaments blancs urticants, appelés aconties. Ces filaments sont inoffensifs pour l'homme.

    Reproduction : La plupart des anémones de mer ont une reproduction sexuée. Bourgeonnement et scission sont comparativement rares. Les œufs sont généralement fécondés dans la cavité gastrique et les jeunes sont libérés par la bouche sous forme de larves nageant librement qui vont rapidement se fixer à un support. Les bernard-l'ermite attachent parfois des anémones de mer à leur coquille. Quelques anémones sont devenues des parasites obligatoires de certaines espèces de méduses.

    Autre : Quelques-unes vivent en symbiose d'autres organismes, notamment les crabes ermites et les poissons clowns, qui sont immunisés contre le poison urticariant des anémones ou certaines petites crevettes. Certaines sont même en symbiose avec des algues vivant dans leur gastroderme.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Anémone de mer ou actinie, nom générique de divers polypes marins ressemblant à des fleurs, au corps cylindrique ou en forme de vase. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    De nombreuses espèces sont colorées. Une extrémité du corps est fermée et attachée aux rochers ou au corail, l'autre comporte une bouche centrale entourée de tentacules armés de nématocystes (cellules piquantes et urticantes qui paralysent et capturent les petits poissons et animaux marins qui constituent ses proies). La bouche en fente s'ouvre sur un court œsophage qui débouche dans la cavité corporelle. À chaque extrémité de la bouche, un pore permanent s'ouvre dans une gouttière, appelée siphonoglyphe, creusée dans la paroi du pharynx et contenant un courant d'eau permanent qui amène l'oxygène aux tissus et les débarrasse de leurs déchets. La cavité du corps est divisée en un certain nombre de sacs par des septums (cloisons) qui partent de la paroi principale. Ces septums augmentent la surface permettant la sécrétion de sucs digestifs et l'absorption des nutriments. Ils contiennent les gonades qui produisent le sperme et les ovules.<o:p></o:p>


    votre commentaire
  • *B*



    votre commentaire
  • *C*

    Liste : calmar ; coquille Saint-Jacques ; corail ; crabe ; crevette


    Calmar<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Calmar (un)

    Embranchement : Mollusques

    Classe : Céphalopodes

    Sous- classe : Colloïdes

    Ordre : Décapodes

    Genre : Architeuthis

    Taille : Les calmars sont de tailles très diverses. Le calmar commun de l'Atlantique Nord (la limite méridionale de son aire de répartition est le Maroc) et de Méditerranée, souvent appelé encornet et très apprécié pour sa chair, atteint 30 à 45 cm de long. Les calmars géants, d’une longueur d’environ 18 m, dont plus de 11 m de tentacules, ont déjà été étudiés.

    Poids : Suivant les espèces, de quelques kilos, à plusieurs centaines de kilos voir de tonnes pour les calmars géants.

    Nourriture : Les calmars sont des prédateurs qui se nourrissent de poissons, de mollusques, de crustacés.<o:p></o:p>

    Milieux : Les calmars géants, hantent les grandes profondeurs (depuis 500 m jusqu’à 3 000 ou 4 000 m) et n’ont jamais été observés dans leur milieu naturel.

    Défense : S’ils se sentent menacés, ils protègent leur fuite aux yeux de leur prédateur en expulsant un nuage d’encre. Ils peuvent aussi changer la couleur de leur peau pour se camoufler.

    Reproduction : Lors de l’accouplement, le mâle dépose un spermatophore (amas de spermatozoïdes) dans l’oviducte de la femelle, à l’aide d’un tentacule modifié qui joue le rôle d’organe copulateur. La fécondation est donc interne. La femelle libère ensuite une grande quantité d’œufs fécondés, dont seule une infime partie parviendra à l’âge adulte.

    Temps d’incubation : <o:p></o:p>

    Durée de vie : La durée de vie de la plupart des espèces est de un an ou moins et quelques espèces seulement ont un cycle de vie supérieur à un an. Certaines espèces tropicales de petite taille complètent leur cycle de vie en quelques mois seulement.

    Prédateurs : Les calmars géants sont souvent la proie des cachalots.

    Autre : En juillet 2002, un calmar géant de près 2,5 t (avec des tentacules évaluées à 15 m de long) a été trouvé sur les plages de Tasmanie.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Calmar, mollusque céphalopode marin proche de la seiche, doté de dix tentacules.

    <o:p> </o:p>

    2- Morphologie <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le corps du calmar est plus allongé que celui de la seiche ; il porte à son extrémité postérieure, selon les espèces, deux nageoires latérales horizontales (calmar commun), ou une nageoire unique de forme plus ou moins triangulaire (pointe tournée vers l’extérieur), chez la seiche, la nageoire court tout autour du corps. Dépourvu de protection externe, il est soutenu par un squelette interne corné en forme de plume. La tête, proportionnellement de grande taille, porte deux grands yeux dont la structure est similaire à celle des yeux des vertébrés. La bouche, munie de fortes mâchoires cornées formant un bec, est entourée de dix tentacules. Deux d’entre eux sont plus longs que les autres ; ils permettent à l’animal de capturer ses proies. Celles-ci sont ensuite passées aux bras plus courts, qui les portent à la bouche.

    <o:p> </o:p>

    La peau, tout comme celle des seiches et des pieuvres, comporte des cellules pigmentaires appelées chromatophores, qui leur permettent de modifier leur coloration (les changements de couleur se font en fonction des déplacements de granules de pigments à l’intérieur de ces cellules). Cette propriété, chez les calmars, ne sert pas tant au camouflage qu’à l’émission de signaux de communication visuels entre partenaires sexuels pendant la saison de la reproduction. Les espèces des grands fonds sont bioluminescentes.

    <o:p> </o:p>

    3- Mode de vie<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Contrairement aux seiches, qui vivent près des côtes, les calmars sont des animaux de pleine mer. Ils se déplacent, parfois très vite, en expulsant rapidement l'eau de la cavité du manteau par un « entonnoir » qui peut être orienté pour diriger le déplacement.


    Coquille Saint-Jacques<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Coquille Saint-Jacques (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Bivalves

    Sous- classe : Ptériomorphes<o:p></o:p>

    Ordre : Ostréoidés

    Famille : Pectinidés

    Genre : Pecten

    Taille : De 10 à 20cm

    Nourriture : La coquille Saint-Jacques est détritivore et planctonophage. C'est un mollusque purement filtreur. Sa nourriture consiste en végétaux microscopiques diatomées principalement, et autres algues, retenus par les branchies.

    Milieux : Les coquilles Saint-Jacques se rencontrent dans la plupart des océans, aussi bien en eau profonde que peu profonde, sur les fonds sableux ou vaseux.

    En Europe elle vit dans le nord de l'Atlantique et la Méditerranée. On la trouve en Normandie, en Bretagne, en Écosse, en Irlande, en Italie ou en Angleterre.

    Reproduction : La coquille Saint-Jacques est hermaphrodite. La glande génitale s'étend sur le côté du muscle adducteur et comprend deux parties : la partie mâle, blanchâtre, est supérieure ; la partie femelle, rouge orangé, est inférieure. Les gonades ou "corail" sont de taille réduite en période de repos sexuel. La maturité sexuelle peut varier suivant les milieux <o:p></o:p>

    Durée de vie : La durée de vie maximale est de 20 ans.<o:p></o:p>

    Petit : L'oeuf fécondé se transforme en une larve trochopore (elle possède un voile, n'a pas de coquille ; elle est nageuse), puis devient une larve véligère (coquille équivalve), puis sa forme se modifie par métamorphose pour donner une larve pédivéligère. Cette métamorphose entraîne des modifications plus anatomiques que morphologiques. Le pied se forme alors que le vélum n'a pas complètement régressé. La larve peut nager et ramper. Plus tard, ses valves deviennent dissymétriques : c'est une post-larve. La larve cherche à se fixer au bout de 3 ou 4 jours au moyen d'un byssus.
    La phase larvaire dure environ 3 semaines. Après la métamorphose, le stade de fixation de la larve, pendant son premier été, est d'environ 10 semaines. La morphologie définitive apparaît lorsque la taille atteint 1 centimètre. Le comportement de la jeune coquille devient alors celui de l'adulte, libre, nageur.

    Autre : Il faut noter que la croissance est irrégulière. Elle se déroule pendant les mois les plus chauds et s'interrompt l'hiver. Elle dépend également des conditions du milieu. On peut observer, sur la coquille, aussi bien sur la valve droite que sur la valve gauche, des stries plus ou moins marquées, correspondant aux arrêts de croissance hivernaux, et des anneaux de croissance en légère dépression.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Saint-Jacques, coquille, mollusque marin comestible du groupe des bivalves, également appelé pecten, capable de se déplacer en faisant claquer les deux valves de sa coquille.

    <o:p> </o:p>

    Leurs coquilles sont ornées de côtes, qui s'élargissent sur les bords des valves, les faisant ressembler à des éventails. Elles s'ouvrent et se ferment grâce à un muscle unique assez important, le muscle adducteur. Les bords des coquilles sont coupants et ondulés. Au niveau de l'ouverture des deux valves, l'enveloppe de l'animal, ou manteau, est bordée d'un pli (le velum) qui porte un grand nombre d'yeux simples (ocelles), sensibles aux variations d'intensité lumineuse. Les coquilles Saint-Jacques se fixent rarement à un rocher. Elles se déplacent en ouvrant et refermant rapidement leurs deux valves, par le jeu de leur muscle adducteur, ce qui chasse l'eau contenue dans leur cavité interne et les projette en arrière, par réaction.

    <o:p> </o:p>

    Les coquilles Saint-Jacques sont très appréciées en gastronomie ; on les nomme souvent simplement Saint-Jacques.


    Corail<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Corail (un)

    Embranchement : Cœlentéré

    Classe : Anthozoaires

    Sous- classe : Les coraux à huit tentacules constituent les sous-classes des octocoralliaires et des alcyonaires. Ceux dont le nombre de tentacules est égal à six ou à un multiple de six appartiennent à la sous-classe des hexacoralliaires).

    Ordre : Les vrais coraux appartiennent à l'ordre des madréporaires.

    Taille : Les polypes coloniaux ont un diamètre de 1 à 3 mm en moyenne.

    Poids : Impossible à déterminer.

    Nourriture : La nuit, les tentacules s'étendent, capturent le plancton et l'amènent vers la bouche. Des cellules urticantes ou nématocystes portées par les tentacules ont la capacité de paralyser les proies.<o:p></o:p>

    Milieux : Les coraux coloniaux peuvent se développer en eau profonde, mais les coraux bâtisseurs de récifs ne vivent qu'en eau chaude et peu profonde. Ils sont cantonnés à la zone dans laquelle pénètre la lumière, car les algues symbiotiques appelées « zooxanthelles » qui vivent dans leurs tissus ont besoin de cette lumière pour accomplir la photosynthèse.

    Sens : Leurs tentacules assure le sens du toucher.

    Reproduction : Les colonies coralliennes peuvent être mâles ou femelles ou comporter les deux sexes vivant côte à côte. Les espèces solitaires et certaines colonies sont hermaphrodites.<o:p></o:p>

    De manière simplifiée, voici les deux principaux types de reproduction :<o:p></o:p>

    - Ce sont les courants qui permettent aux spermatozoïdes mâles de parvenir dans les polypes femelles. Quand la fécondation s’effectue dans le polype, l’œuf qui en résulte se divise en quelques jours et aboutit à une larve (planula) qui sera ensuite expulsée par la bouche.<o:p></o:p>

    Les larves, en très grand nombre, forment de véritables nuages. Les larves flottent pendant une à huit semaines environ en utilisant les courants. A ce stade là, la larve est capable de se nourrir du zooplancton. Si la larve survit aux prédateurs et aux courants, elle se laisse couler sur un point d’ancrage solide sur lequel elle se fixe. La larve se met aussitôt à sécréter une base calcaire qui sera à l’origine d’une nouvelle colonie.<o:p></o:p>

    - Chaque polype, mâle ou femelle, peut donner spontanément naissance à un autre polype. Ce type de reproduction fonctionne par bourgeonnement et assure la croissance continue des coraux récifs. Par exemple, la larve se fixe et son premier polype se met à pousser. Bientôt, à la base de ce polype initial, se forment des bourgeonnements qui deviennent des polypes secondaires (polypes-fils). En trois semaines, ils se seront à leur tour bâti un squelette complet. De nouvelles générations se mettront à pousser sur les polypes-fils et ainsi de suite.
    En moins d’un an, une colonie peut ainsi être constituée de 20 à 30 individus.<o:p></o:p>

    Temps d’incubation : Quelques jours.<o:p></o:p>

    Durée de vie : Peuvent vivre jusqu’à 60 ans

    Autre : La ponte corallienne s’opère par une nuit claire, souvent juste après la pleine lune. Des milliers de petites planulas sont expulsées en même temps. Ce spectacle fantastique ne se produit qu’une à deux fois par an.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Corail, classe d'invertébrés marins ayant pour caractéristique commune un squelette externe calcaire ou corné. Ce squelette protecteur est souvent lui-même appelé « corail ».

    <o:p> </o:p>

    Les coraux sont répartis en deux sous-classes selon leur type de symétrie radiale (symétrie par rapport à l'axe central). Une sous-classe est composée d'animaux coloniaux à huit tentacules possédant leur propre squelette interne. On y trouve le corail fouet, les gorgones et le corail rouge utilisé en joaillerie. Les membres de l'autre sous-classe ont généralement six tentacules, ou un nombre multiple de six, mais d'autres arrangements sont également possibles. Ils comprennent les vrais coraux ou madréporaires. Une autre classe du même embranchement groupe des formes apparentées qui ne seront pas considérées ici.

    <o:p> </o:p>

    2- Structure <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les vrais coraux sécrètent du carbonate de calcium au niveau de la moitié inférieure du pédoncule de l'animal, ou polype, produisant un squelette en forme de coupelle. Les polypes sont ancrés dans cet habitacle et s'y retirent pour se protéger. Au sommet du pédoncule, un disque oral aplati comporte une ouverture entourée de tentacules plumeux et de cils qui sert à la fois de bouche et d'anus.

    <o:p> </o:p>

    3- Colonies<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Certains madréporaires sont des polypes solitaires, mais la plupart sont coloniaux. Ils sont reliés par des tubes latéraux qui sont une extension de leurs cavités gastro-vasculaires.

    <o:p> </o:p>

    Les coraux ne pourraient subsister sans la présence de ces algues. L'algue fournit des molécules carbonées au corail, augmentant ainsi l'énergie disponible. En retour, la nourriture du corail peut fournir de l'azote et du phosphore aux algues. La dépendance des coraux envers les algues varie selon les espèces et leur localisation. Les madréporaires sont les principaux bâtisseurs de récifs, mais d'autres organismes peuvent y contribuer, par exemple les hydrocoralliaires, les algues calcaires, les mollusques et les éponges.


    Crabe<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Crabe (un)

    Embranchement : Crustacés

    Classe : Malacostracés

    Ordre : Décapodes

    Sous-ordre : Brachyoures

    Famille : Pleocyemata

    Taille : variation selon les espèces : de quelques centimètres à plusieurs mètres d’envergure   <o:p></o:p>

    Poids : variation selon les espèces, en général, plusieurs kilos

    Nourriture : Presque tous : animaux morts ou vivants, détritus, crustacés.

    Milieux : milieux très variés : sur terre (plage, côtes), sous terre (petits terriers). Dans l’eau, la profondeur varie (0 à 1000 m).<o:p></o:p>

    Défense : Leurs pinces servent de défense.

    Sens : Les sens de l’odorat et du goût sont également très développés et leur permettent d’identifier nourriture et partenaires sexuels.<o:p></o:p>

    Reproduction : Toutes les espèces de crabes ont des sexes séparés. L’accouplement se produit souvent après la mue de la femelle, lorsque sa nouvelle coquille n’a pas encore eu le temps de durcir. Les œufs sont conservés dans une poche incubatrice et la femelle les transportera jusqu’à la mer avant qu’ils n’éclosent.

    Durée de vie : Les crabes vivent entre 3 et 12 ans.

    Petit : Les œufs écloront dans l’eau et passent par deux stades de développement avant d’éclore sous forme de larves nageuses. Chez certaines espèces, les larves passent d’abord par une forme dite zoé, sans ressemblance avec l’adulte, puis par un stade dit mégalope, plus proche sur le plan anatomique mais chez lequel l’abdomen est encore visible. À chaque mue, le jeune crabe augmente de taille. Les pattes et les chélipèdes perdus peuvent être remplacés mais restent souvent de taille plus réduite.

    Cri : Les sons émis par un crabe peuvent consister en une vraie stridulation obtenue par frottement des pattes entre elles ou sur la carapace. Les Uca frappent les deux chélipèdes* contre la carapace, tapent au sol comme sur un tambour, et produisent également des chuintements en respirant. La fréquence des sons augmente si un mâle agressif ou une femelle approchent.<o:p></o:p>

    Nul doute que les crabes communiquent par voie orale même si nous n’avons pas encore décrypté leur langage. Par exemple, un mâle, à l’intérieur de son terrier, produit des sons plus hauts de 2 à 6 décibels qu’un mâle qui se trouve près de l’orifice. Chaque espèce semble posséder son propre langage.

    Chélipèdes : paires de pattes antérieures du crabe.<o:p></o:p>

    Autre :

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crabe, crustacé décapode caractérisé par ses premières pattes transformées en pinces, un abdomen réduit replié sous le corps, un céphalothorax élargi, et la présence d’un squelette externe constitué de chitine formant une carapace dorsale. Bien que très commun parmi la faune du fond des mers et des rivages, les crabes vivent également en eau douce et certains s’aventurent même sur la terre ferme. Beaucoup de crabes sont comestibles ; on les capture à l’aide de filets ou de casiers. Leur chair est riche en protéines et pauvre en matières grasses.

    <o:p> </o:p>

    2- Caractéristiques<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Les crabes sont apparentés aux homards et aux crevettes, mais leur développement évolutif leur permet de marcher, de courir de côté et de creuser aussi bien que de nager. Ils font partie des décapodes reptantia, c’est-à-dire marcheurs (à l’opposé des crevettes, qui appartiennent au groupe des natantia). Leur corps est protégé par une carapace chitineuse et par un revêtement cireux. L’abdomen réduit, qui ne sert plus à la locomotion chez de nombreuses espèces, est replié sous le corps. Il sert de poche incubatrice pour les œufs.

    <o:p> </o:p>

    Le corps segmenté du crabe possède plusieurs paires d’appendices : quatre paires servent à la locomotion et deux d’antennes sensorielles. Les pattes antérieures sont transformées en pinces (chélipèdes) utilisées pour saisir la nourriture, se défendre et parader. Les crabes atteignent souvent une taille considérable, le record étant détenu par un crabe du Japon qui peut dépasser 3,5 m d’envergure (pattes comprises), pour une carapace de 40 cm.

    <o:p> </o:p>

    Les crabes apparaissent à bien des égards comme des animaux évolués. Ils possèdent un système nerveux assez développé et sont capables de s’adapter aux conditions changeantes du milieu, ce qui leur permet de survivre dans des habitats hostiles. Leurs habitudes alimentaires sont très variées.

    <o:p> </o:p>

    Ces animaux, généralement actifs et au comportement complexe, ont des yeux composés très performants. Le comportement reproducteur et social comprend parfois des rituels d’accouplement complexes et des signaux de communication élaborés. Les crabes ont tendance à se montrer agressifs envers leurs congénères.

    <o:p> </o:p>

    3- Diversité<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les crabes des sables ont un corps allongé et s’enfoncent à reculons dans le sable. Ils filtrent les particules alimentaires en suspension dans l’eau. Les araignées de mer ont de longues pattes et un corps étroit. Elles se camouflent en décorant leur carapace avec des algues et des anémones. Leur carapace est de forme triangulaire, ce qui les différencie des vrais crabes.

    <o:p> </o:p>

    Les crabes vrais sont particulièrement nombreux. Les tourteaux et les crabes de roche ont un corps large et ovale. Les crabes nageurs, comme le crabe laineux, ont des pattes modifiées en nageoires. Les crabes petits-pois sont minuscules et vivent dans des animaux marins comme les huîtres. Les crabes enragés, ou crabes verts, faciles à observer, vivent sur le rivage au niveau de la mer ; on les rencontre couramment sur les côtes françaises. Les côtes de la Manche voient évoluer l’étrille. Les crabes violonistes mâles, fouisseurs, ont une grande pince dont ils se servent pour l’accouplement et les combats — ce sont les grands mouvements qu’ils effectuent avec leurs pinces qui leur ont valu leur nom. Ce sont des espèces semi-terrestres.

    <o:p> </o:p>

    Les crabes terrestres tropicaux sont des omnivores qui retournent à la mer pour libérer leurs larves. Nombreux sont ceux qui vivent dans des terriers creusés sur la plage, ou plus loin dans les terres. Les régions tropicales abritent également des crabes d’eau douce, qui vivent dans des cours d’eau. Cependant, on peut également rencontrer des crabes d’eau douce dans les régions tempérées, en Grèce, par exemple.

    <o:p> </o:p>

    Le crabe des cocotiers, malgré son nom, appartient à la famille des bernard-l’ermite terrestres.


    Crevette<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

    Généralités :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Nom : Crevette (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Malacostracés

    Ordre : Décapodes

    Taille : Certaines variétés de crevettes peuvent mesurer jusqu'à 20cm

    Poids : Quelques dizaines de grammes

    Nourriture : La crevette est un animal omnivore. Elle se nourrit de plancton, de poisson de crabes mort et de vers.

    Milieux : Elle vit parmi les algues sur le fond sablonneux.<o:p></o:p>

    Reproduction : Les crevettes sont unisexuées (mâles et femelles), cependant certains mâles peuvent se transformer en femelles après un certain temps, qui en moyenne se situe autour des deux ans. En prenant en compte ces conditions, la femelle ne peut s'accoupler que trois fois par an: en général le cycle printemps, été et milieu de l’hiver est respecté.<o:p></o:p>

    La quantité d'oeufs pondus par la femelle croît en fonction de son âge. Ainsi à l'âge de trois ans, une crevette femelle peut pondre plus de 25 000 oeufs. Une fois fécondés, les oeufs sont suspendus par la femelle à son abdomen à l'aide d'un mucus naturel collant sécrété sur les poils, protection de la future progéniture face à ses congénères, ou autres prédateurs; elle portera les oeufs jusqu'à leur éclosion. On peut connaître l'avancement de la maturation d'un oeuf grâce à sa couleur; en effet plus l'oeuf est foncé, plus il est mature et donc proche de l'éclosion.<o:p></o:p>

    Temps d’incubation : La durée d'éclosion varie selon la température de l'eau, et donc des saisons; en été le processus peut prendre 4 semaines, alors qu'en hiver il peut durer jusqu'à environ trois mois.<o:p></o:p>

    Durée de vie : La durée de vie de la crevette est de 7 ans.

    Femelle : La crevette femelle ne peut s'accoupler qu'après avoir effectué sa mue (changement de carapace)

    Petit : Une fois les oeufs éclos, la crevette ne se pose pas au sol, elle nage dans l'eau et ne se posera qu'au bout de quelques mois au fond de l'eau.<o:p></o:p>

    Prédateurs : Les prédateurs des crevettes sont les poissons et les crustacés.

    <o:p> </o:p>

    1- Présentation<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Crevette, petit crustacé décapode appartenant au même ordre que les crabes, les écrevisses et les homards. La taille des crevettes varie : de celle d'un petit insecte à plus de 20 cm de long. Les crevettes vivent dans l'eau salée ou douce mais plus particulièrement sur les fonds marins peu profonds où elles se nourrissent de petits animaux et de plantes. Quelques espèces sont pélagiques, nageant en haute mer à de très grandes profondeurs.

    <o:p> </o:p>

    Les crevettes sont anatomiquement semblables aux homards et aux écrevisses mais n'ont pas de grandes pinces. Les animaux sont généralement transparents, de couleur verdâtre ou brune. Ils ont un abdomen musclé qu'ils contractent rapidement pour nager à reculons. Leur chair, très appréciée, sert de base à de nombreux plats et la pêche à la crevette est une activité économiquement importante. Les animaux ont huit paires d'appendices sur le thorax. Les trois premières paires, appelées maxillipèdes, servent à l'alimentation. Les cinq autres, les péréiopodes, servent à la marche. L'abdomen porte cinq paires de pattes nageuses, les pléopodes, et une queue en éventail.


    votre commentaire
  • *D*



    votre commentaire