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    Liste : souris ;


    Souris<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Souris (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Mammifères

    Sous- classe : Thériens

    Infra-classe : Placentaires

    Ordre : Rongeurs

    Sous-ordre : myomorphes

    Famille : Muridés

    Sous-famille : Murinés

    Genre : Mus

    Taille : Leur corps mesure entre 7 et 8,5 cm de long (les souris grises que l’on trouve dans les habitations peuvent toutefois être plus grandes). Elles possèdent une queue fine et annelée longue de 5 à 8,5 cm — chez la souris grise, elle est aussi longue que le corps.

    Poids : En gramme.

    Nourriture : Les souris sont omnivores, mais ont une préférence pour les graines. Les souris grises qui vivent en milieu urbain, disposent de réserves de nourriture abondante toute l’année, amassent moins de réserves que leurs congénères des champs.

    Milieux : Les différentes espèces de souris sont présentes un peu partout dans le monde. Majoritairement nocturnes, elles creusent des galeries dans les champs. Les souris grises vivent en milieu urbain, à proximité des hommes. Elles s’installent dans les greniers, les entrepôts, les jardins, les haies, etc. <o:p></o:p>

    Sens : Les souris des champs ont l'odorat beaucoup plus développé que celles des villes.<o:p></o:p>

    Reproduction : Les souris sont des animaux prolifiques. Leur reproduction dépend toutefois des conditions environnementales et de la disponibilité de leurs sources de nourriture. Chez la souris domestique, la femelle peut mettre au monde de 5 à 10 portées par an, chacune comptant en général de 4 à 8 jeunes (parfois plus).

    Temps de gestation : La gestation dure environ 20 jours.<o:p></o:p>

    Durée de vie : La longévité de la souris est faible : environ 1,5 an dans la nature et 2,5 ans en captivité.

    Cri : Les souris communiquent entre elles par de petits cris aigus.<o:p></o:p>

    Petit : Les souriceaux atteignent leur maturité sexuelle entre 2 et 3 mois.

    Autre : La souris grise est très utilisée comme animal de laboratoire, principalement sous sa forme albinos. En 2002, une équipe de chercheurs américains et britanniques a achevé le séquençage complet de son génome. Ces travaux ont révélé que le patrimoine génétique de la souris renferme quelque 30 000 gènes, dont environ 80% se retrouvent dans le patrimoine génétique humain, chez les mammifères, les gènes codant pour les fonctions essentielles des organismes ont été peu modifiés au cours de l’évolution. Ces résultats permettent de situer l’ancêtre commun à la souris et à l’homme aux alentours de - 65 millions d’années.

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    1- Présentation <o:p></o:p>

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    Souris, petit rongeur omnivore au pelage dans les tons de gris ou de gris-brun, et dont la souris grise, ou souris domestique, est le représentant typique.

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    2- Caractéristiques <o:p></o:p>

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    Les souris sont des mammifères de petite taille. Le pelage est d'un gris ou gris-brun sur le dos, toujours plus clair sur le ventre. Il existe une forme albinos de la souris grise, entièrement blanche, élevée comme animal de laboratoire.

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    3- Diversité<o:p></o:p>

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    Encore appelée souris domestique, la souris grise, probablement originaire des steppes de l’ouest de l’Asie, est aujourd’hui présente dans le monde entier, à l’exception des régions arctiques, de Madagascar et de la Nouvelle-Zélande. Elle est représentée par deux sous-espèces. Très commune dans l’environnement immédiat des populations humaines, elle peut pourtant vivre, contrairement au rat noir et au rat gris, dans des régions inhabitées. En milieu rural et urbain, il arrive qu’elle cause des dégâts importants, en puisant dans les récoltes ou les aliments stockés. Elle est par ailleurs susceptible d’être, comme d’autres rongeurs, un vecteur de maladies.

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    Il existe d’autres espèces de souris, moins abondantes, et dont aucune ne vit près de l’homme. On trouve en Europe la souris à queue courte et la souris des steppes. Tous les spécialistes ne sont toutefois pas d’accord sur la classification des souris. Ainsi, certains pensent que la souris des steppes est une sous-espèce de la souris grise. D’autres considèrent que la souris des steppes que l’on trouve en Grèce appartient en fait à une espèce distincte.


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    Liste : vache ;


    Vache<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Généralités :<o:p></o:p>

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    Nom : Vache (une)

    Embranchement : Chordés

    Sous-embranchement : Vertébrés

    Classe : Mammifères

    Sous- classe : Thériens<o:p></o:p>

    Infra-classe : Placentaires

    Ordre : Artiodactyles

    Famille : Bovidés<o:p></o:p>

    Sous-famille : Bovinés

    Genre : Bos

    Taille : La taille de la vache varie en fonction des races, de 1 m à 1,40 m de hauteur au garrot.

    Poids : Le poids de la vache varie en fonction des races, de 250 à 800 kg.

    Nourriture : La vache absorbe quotidiennement de 60 à 100 l d’eau, et de 50 à 80 kg de nourriture, qu’elle mélange à une salive abondante. L’alimentation varie en fonction du type d’élevage. En hiver, elle se compose principalement de fourrages conservés, et en été d’herbes pâturées. Les bovins français consomment essentiellement de l’herbe, du foin, du maïs fourrage, des betteraves fourragères et de la luzerne. La France est le pays européen où la tradition herbagère demeure la plus ancrée.

    Milieux : Partout dans le monde.

    Sens : À la différence de la vue, et comme l'odorat, l'ouïe bovine est très développée et très efficace. Voici un petit schéma vous expliquant son fonctionnement. Il a été prouvé scientifiquement, entre deux lancés de fusées, que la vache aimait la musique, exclusivement classique, et très souvent Mozart. Une équipe scientifique a montré qu'une vache pouvait repérer et identifier chaque sorte de végétal en ne s'aidant que du son produit par le vent soufflant sur ces végétaux. Ainsi, une vache distinguera, au son, l'herbe du foin et la rose de la tulipe.<o:p></o:p>

    Reproduction : Vers l'âge de 18 mois, la génisse peut être mise en présence du taureau. En règle générale, la vache donne naissance à un seul veau par portée. Un ou deux taureaux suffisent à la reproduction du troupeau.<o:p></o:p>

    Cependant, depuis les années 60, les éleveurs recourent de plus en plus à l'insémination artificielle. Et aujourd'hui, de nombreux taureaux sélectionnés pour leur qualité de reproducteurs sont élevés dans des centres spécialisés. Une fois récoltée, la semence des taureaux est diluée et placée dans des paillettes. Celles-ci sont ensuite congelées à une température très basse (environ -80°C). Elles peuvent être conservées durant plusieurs années.
    Sans accouplement, la vache reçoit au moment idéal -vers la deuxième moitié de la période des chaleurs- la semence du taureau sélectionné par l 'éleveur. L'insémination est réalisée à l'aide d'une longue seringue. Grâce à cette technique, un seul taureau peut avoir plus de 100.000 descendants à des kilomètres de distance.
    En raison de leur musculature toujours accrue, les vaches éprouvent des difficulté à mettre bas de façon naturelle. Dès lors, on recourt de plus en plus fréquemment à la césarienne (90 % pour la race Blanc-Bleu). Cette intervention, effectuée par un vétérinaire, consiste à pratiquer une ouverture sur le flanc droit de la vache afin d'extraire le veau

    Temps de gestation : La durée de gestation est d'environ neuf mois et demi.<o:p></o:p>

    Durée de vie : L'âge moyen d'une vache laitière de réforme est compris entre 5 et 8 ans. Les vaches allaitantes (à viande) sont abattues entre 8 et 15 ans.

    Femelle : Dès la naissance, les mamelles de la vache entrent en activité. La vache laitière peut donner 40 litres de lait par jour alors que la viandeuse en donne dix.

    Petit : On oblige le veau à téter le premier lait appelé colostrum, celui-ci étant très riche en vitamines et en anticorps corps. Une période de lactation se limite à environ 300 jours par an à partir du vêlage. Ce qui implique que pendant deux mois, la vache n'a pas de lait.

    Cri : Elle s’exprime par son beuglement ou mugissement, dont les nombreuses variations peuvent dire la souffrance, la faim, la soif, l’appel d’un veau ou d’une congénère.

    Autre : La vache passe le plus clair de ses journées à ruminer : cette activité l’occupe de huit à douze heures par jour. Son appareil digestif, qui se caractérise par la présence de quatre estomacs, permet par la rumination de digérer la cellulose. La panse ou rumen, le bonnet ou réseau, la caillette et le feuillet. La panse est la partie la plus importante et représente environ 80 % du volume total.

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    1- Présentation <o:p></o:p>

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    Vache, femelle de l’espèce bovine, élevée pour la production de lait ou de viande. La vache est la femelle du taureau et donne naissance au veau ; elle occupe une place importante dans les différentes mythologies, ainsi que dans l’économie de nombreux pays.

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    2- Description<o:p></o:p>

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    2.1- Morphologie <o:p></o:p>

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    Elle porte des cornes creuses, de part et d’autre du chignon. Le front, bombé, se poursuit par le chanfrein, qui va de la ligne des yeux jusqu’au mufle. La mamelle forme un pis, outre de lait située sous le ventre et en arrière. Elle est constituée par quatre glandes mammaires enfermées dans une même poche protectrice. Les trayons en forme de doigts de gant qui permettent au veau de téter mesurent de 5 à 10 cm de long et 2 à 3 cm de diamètre.

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    2.2- Comportement <o:p></o:p>

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    La vache est un animal d’une grande sensibilité. Elle possède une bonne faculté d’attention et une mémoire développée, remarquable notamment dans les cas de transhumance. Dans le troupeau s’établissent des relations d’affinité et des phénomènes de dominance. La « vache-maîtresse » s’impose en donnant des coups aux autres. La domination s’exprime par divers signes tels des mouvements de tête. L’agressivité, qui reste faible, est recherchée notamment chez les vaches espagnoles, pour la course landaise.

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    3- Types de races<o:p></o:p>

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    On distingue quatre grands types de vaches : les vaches laitières, les vaches allaitantes ou vaches à viande, les races mixtes et les rustiques. L’expression « vaches de réforme » désigne les vaches abattues pour production insuffisante, stérilité, troubles infectieux, troubles de locomotion, etc.

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    Cinq races seulement (sur 45 recensées) représentent 85% du cheptel bovin français : la Prim’Holstein, la Charolaise, la Normande, la Montbéliarde et la Limousine. Avec une moyenne de 28 têtes par éleveur, le cheptel national représente près de 8,5 millions de têtes.

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    3.1- Les vaches laitières <o:p></o:p>

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    Les vaches laitières sont destinées à la traite ; elles sont à cet effet séparées de leur veau dès le premier vêlage. Elles donnent ensuite naissance, en théorie, à un veau chaque année. La lactation commence après chaque vêlage et se poursuit jusqu’à environ deux mois avant la naissance suivante. L’alimentation des vaches laitières consiste en une ration de base composée de fourrages cellulosiques (herbe, foin, ensilage, selon la saison) à laquelle on ajoute, selon chaque animal, une ration complémentaire d’aliments concentrés (céréales, tourteaux, …).

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    Depuis la mise en place des quotas laitiers en 1984, le cheptel des vaches laitières en France est passé de 7,5 à 4 millions de têtes (en moyenne 33 têtes par exploitation). Les races « laitières spécialisées », comme La Prim'Hostein ou la Montbéliarde, produisent jusqu'à 10 000 l de lait par an.

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    La Prim’Hostein, suivie de la Normande, dominent le troupeau laitier français. On trouve aussi des laitières dans les zones montagneuses, dont le lait est destiné principalement aux productions fromagères : la Montbéliarde (comté) en Franche-Comté, l’Abondance et la Tarentaise dans les Alpes (respectivement reblochon et gruyère), ou encore la Vosgienne (munster) dans les Vosges. Il existe également quelques races à effectif réduit telles la Bleue du Nord, la Rouge Flamande et la Bretonne Pie Noire.

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    3.2- Les vaches allaitantes ou vaches à viande <o:p></o:p>

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    Les vaches allaitantes, ou vaches à viande, sont les vaches non traites exploitées pour la production de veaux destinés à fournir de la viande de boucherie. Les troupeaux de vaches allaitantes vivent la plus grande partie de l’année dans les pâturages, s’adaptent à la végétation existante et ne reçoivent que peu d’alimentation complémentaire. Le cheptel français de vaches allaitantes compte aujourd’hui environ 4 millions de têtes (en moyenne 25 bêtes par exploitation). L’importance numérique de ce cheptel est une spécificité française.

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    Les quatre grandes races « à viande », élevées uniquement pour la production de veaux de boucherie et d’élevage, sont la Charolaise, la Blonde d'aquitaine, la Limousine et la Maine-Anjou. Plus « rustiques », la Gasconne, la Parthenaise ou la Bazadaise ont su également s’imposer.

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    3.3- Les races mixtes <o:p></o:p>

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    Les races mixtes sont appréciées aussi bien pour la richesse ou les qualités fromagères de leur lait que pour leur viande. Leur nombre a fortement diminué avec la spécialisation des races apparue au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Parmi les principales races mixtes qui se sont maintenues figurent la Normande, la Montbéliarde, la Maine Anjou, la Parthenaise et la Simmental française.

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    3.4- Les rustiques <o:p></o:p>

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    Les races « rustiques » ou « locales » sont liées à un terroir et à une production localisés, aux effectifs réduits ou en voie de disparition. Leur cheptel s’est réduit depuis les années 1950-1960, au profit de vaches plus productives, mais elles retrouvent aujourd’hui une certaine faveur. On peut citer l'Aubrac et la Ferrandaise dans le Massif central, ainsi que la Lourdaise et la Béarnaise dans les Pyrénées.

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    4- Relations avec l’homme et symbolique<o:p></o:p>

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    4.1- La vache sacrée <o:p></o:p>

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    Symbole de fertilité et de fécondité, signe de richesse et de renouveau, la vache est également associée à la Lune et au monde céleste. Dans le panthéon égyptien, la déesse du Ciel Hathor est ainsi souvent représentée sous la forme d’une vache. Des cornes de vache entourent également le disque solaire qui surmonte la tête d’Isis, déesse de la Fertilité et de la Maternité. Dans les mythologies et les cultures occidentales, la vache est l’image de la terre féconde et nourricière. On trouve dans la mythologie scandinave Audhumla, vache sacrée originelle, du pis de laquelle jaillissent quatre fleuves de lait nourricier destiné au géant Ymir.

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    En Inde, considérée comme la mère nourricière du peuple Hindou, la vache (en fait un zébu) est « sacrée » depuis le Ve siècle av. J.-C. Elle mène une vie paisible, en pleine ville au milieu du trafic automobile ou à la campagne, achevant parfois sa vie dans une « maison de retraite pour déesse ».

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    4.2- La vache utile <o:p></o:p>

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    La symbolique nourricière de la vache tient en partie à la viande qu’elle procure, mais surtout à son lait, qui possède de nombreuses vertus nutritives et dont on peut en tirer des produits variés, comme le fromage et le beurre. Mais la vache présente également d’autres utilités. Ses cornes, par exemple, ont longtemps été utilisées dans la fabrication de boutons ou de peignes. La coutellerie Laguiole utilise toujours aujourd’hui pour les manches de ses couteaux les longues cornes des vaches Aubrac. Le cuir est employé dans la maroquinerie et l’ameublement. Le sang séché, la corne de sabots broyée ou la poudre d’os font partie de la panoplie du jardinier. La bouse est utilisée comme engrais — une vache en évacue chaque année environ dix tonnes. Dans le passé, elle constituait une véritable réserve d’énergie pour l’hiver. Au Pérou, on lui donne le nom « bois de vache ». On lui a également attribué des pouvoirs magiques et des vertus médicinales.

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    4.3- La vache et l’environnement <o:p></o:p>

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    L’élevage bovin joue un rôle important dans la protection de l’environnement comme rempart contre la désertification progressive des campagnes, dans la prévention des risques naturels (avalanches) et comme régulateur écologique. Les vaches qui broutent l'herbe entretiennent en effet naturellement la végétation en « tondant » les pâturages et en les enrichissant de leur fumier.

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    Mais dans les élevages intensifs, les déjections des vaches participent à la pollution des eaux de surface ou des nappes phréatiques. On cherche aujourd’hui à maîtriser la gestion des énormes quantités de fumier produites par ce type d’élevages. Par ailleurs, en raison de la fermentation intestinale, la vache évacue également une grande quantité de méthane (400 l par jour), un gaz qui contribue à l’effet de serre et au réchauffement de la planète.

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    4.4- La « vache folle » <o:p></o:p>

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    La maladie de la « vache folle » désigne l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), apparue en Europe, et principalement en Grande Bretagne, au début des années 1980. Un règlement communautaire adopté le 17 juillet 2000 a rendu obligatoire, sur le territoire de l’Union européenne, l’étiquetage de l’origine des viandes, en deux étapes : depuis le 1er septembre 2000, mention du pays d’abattage et du pays de découpe (ou de fabrication pour la viande hachée) ; à compter du 1er janvier 2002, mention supplémentaire des pays de naissance et d’élevage des animaux.


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