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*E*
Liste : éponge ; escargot ; étoile de mer ;
Éponge<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Éponge (une)
Embranchement : Spongiaires
Classe : Varie selon les espèces.
Ordre : Varie selon les espèces.
Famille : Varie selon les espèces.
Genre : Varie selon les espèces
Taille : La taille varie selon les nombreuses espèces déponges existantes.
Poids : Le poids varie selon les nombreuses espèces déponges existantes.
Nourriture : Une éponge se nourrit en aspirant de l'eau par des pores latéraux ou prosopores et en la rejetant au sommet par une large ouverture, l'oscule. Elle se nourrit de particules nutritives (phytoplanctons, bactéries, débris organiques).
Milieux : En général, on les rencontre dans les zones littorales et sublittorales où la nourriture est abondante, mais quelques espèces se trouvent jusquà 5 000 m de profondeur.
Défense : Les spicules* des éponges les protègent en partie des gros prédateurs qui n'apprécient généralement pas leur pointes parfois acérées. Plusieurs éponges produisent en plus des composés organiques (terpènes, benzoquinones, bromines) qui leur donnent mauvais goût et qui, dans certains cas, vont inhiber la croissance d'autres organismes comme les coraux. Ces inhibiteurs de croissance peuvent permettre aux éponges de monopoliser l'espace qui est souvent un facteur limitant dans les zones littorales des océans.
*spicules : Petit élément calcaire ou silicieux qui forme le squelette interne d'une éponge.
Reproduction : La reproduction est sexuée ou asexuée. Dans le cas de reproduction sexuée, les éponges sont généralement hermaphrodites, mais la fécondation est croisée. Les ovules et les spermatozoïdes fusionnent pour produire une larve nageuse qui va s'installer sur un nouveau support. La reproduction se fait également de manière asexuée par de petits bourgeonnements appelés « gemmules ». Chaque gemmule peut donner naissance à une nouvelle éponge.
Durée de vie : Variable selon les espèces mais pouvant atteindre 20 ans ou plus.
Autre : Les éponges ont été très étudiées par les biologistes du développement, car elles sont capables de se reconstituer si leurs cellules sont séparées et mises en suspension dans l'eau.
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1- Présentation <o:p></o:p>
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Éponges, groupe de plusieurs milliers d'espèces constituant un embranchement d'invertébrés. Les éponges sont surtout marines mais comportent quelques espèces d'eau douce. Elles sont abondantes dans le monde entier et surtout dans les eaux tropicales où, avec d'autres invertébrés comme les coraux, elles participent à la formation de dépôts calcaires des récifs.
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Tous les principaux groupes d'éponges vivant aujourd'hui avaient des représentants au cambrien, il y a environ 600 millions d'années. Les relations des éponges avec les autres groupes d'invertébrés sont très controversées. On s'accorde généralement à penser qu'elles constituent une lignée multicellulaire dérivée de protozoaires unicellulaires, mais leurs relations avec les clentérés (méduses et coraux) sont moins claires. Selon une opinion assez répandue, les clentérés et les éponges auraient un ancêtre commun.
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2- Caractéristiques <o:p></o:p>
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La construction cellulaire primitive des éponges consiste en une couche externe de cellules et une couche interne de cellules flagellées qui entretiennent un courant d'eau. Entre les deux couches se trouvent de nombreuses cellules amiboïdes et des éléments squelettiques, sous forme d'épines cristallines dures appelées « spicules ». Chaque cellule flagellée a une mince collerette autour d'un flagelle unique. Ces cellules tapissent soit une grande cavité unique, soit de petites chambres, les chambres flagellées, reliées par des canaux. L'éponge peut augmenter la pression de ses cavités internes pour rejeter l'eau à grande distance de l'oscule. Ce mécanisme semble destiné à éviter la circulation d'une eau déjà appauvrie en oxygène et en nutriments.
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3- Eponges du commerce<o:p></o:p>
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Six espèces d'éponges et de nombreuses variétés sont commercialement utilisées. Le squelette de ces éponges n'est constitué que de spongine, un matériau protéique flexible, et ne contient pas de spicules durs. Les éponges méditerranéennes sont les plus douces, suivies par celles de la mer Rouge. Les éponges des Antilles, par contre, sont plus rudes et moins résistantes. Les éponges sont ramassées par des plongeurs et les tissus vivants subissent une décomposition. Le squelette restant, fait de fibres de spongine, est ensuite lavé, blanchi, parfois teinté, puis taillé en blocs réguliers ou non, selon leur utilisation future.
Escargot<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Escargot (un)
Embranchement : Mollusques
Classe : Gastéropodes
Ordre : Stylommatophores
Famille : Helicidés
Genre : Helix
Taille : En moyenne de 2 à 5cm.
Poids : De 7 à 50g en moyenne.
Nourriture : Un escargot mange beaucoup. Lescargot de Bourgogne consomme jusquà 40% de son poids par heure. Ils utilisent pour se nourrir une langue râpeuse appelée radula. Il lui suffit de se tremper dans leau pour boire par la peau, tant cette dernière est fine.
Il est herbivore et dévore surtout par temps de pluie. Il mâchouille les végétaux grâce à sa langue râpeuse (radula) et les déchiquette avec ses nombreuses dents aiguës. Il apprécie les feuilles, les écorces ou les champignons mêmes vénéneux. Il raffole des fraises. Daprès une étude de Pollard en 1975 et de Bongioanni en 1976, lescargot de Bourgogne aurait du palais. Ses plantes préférées seraient dans lordre : lortie, la berce, la centaurée, le lierre terrestre, le tussilage, les plantins et la bardane. Certains sont détritivores, d'autres nécrophages, d'autres enfin prédateurs, y compris cannibales. Après un long jeûne, certains se sont même jetés sur de la viande de buf et du pain.<o:p></o:p>Milieux : Les escargots existent un peu près partout dans le monde ; la plupart sont terrestres.
Défense : La coquille en spirale, dans laquelle l'escargot se retire, sert principalement de protection contre les prédateurs et contre la déshydratation. Pour se défendre contre les prédateurs, comme le renard, le hérisson ou le blaireau, lescargot fait des bulles, censées intimidées ladversaire.
Sens : Les deux grandes tentacules sont terminées par deux yeux noirs. Certains chercheurs pensent que sa vision est parfaite car la structure de son il possède toutes les caractéristiques nécessaires : une cornée, un cristallin, un corps vitré.
Reproduction : Lescargot est hermaphrodite cest-à-dire quil est mâle ou femelle selon les circonstances. Un accouplement est cependant nécessaire pour la fécondation. Le printemps est la pleine saison des amours. Les deux partenaires se flairent et se caressent avec leur radula. Cest le hasard qui décide du sexe de chacun. Un escargot peut saccoupler avec plusieurs partenaires. Une fois fécondée, la glande hermaphrodite se modifie : la partie mâle se résorbe delle-même et la partie femelle se développe. Lescargot creuse un trou et pond une douzaine dufs tout blancs par heure. Lorifice de ponte des ufs est proche de la tête. Un escargot peut pondre jusquà 80 ufs. Il referme ensuite le trou avec de la terre. Les ufs peuvent aussi être pondus sous un tas de feuilles. <o:p></o:p>
Temps de gestation : La durée dincubation varie de 20 à 30 jours.<o:p></o:p>
Durée de vie : Un escargot vit entre 5 et 10 ans et parfois jusquà 15 ans.
Petit : Les petits sortent de leurs ufs mais restent sous terre de 5 à 10 jours pour ne pas être brûlés par le soleil. A la naissance, la petite coquille est transparente. Ils attendent quelle jaunisse pour sortir de terre; en effet, la coquille doit se consolider.
Autre : Les escargots terrestres sont particulièrement bien adaptés aux variations hygrométriques ; certaines espèces peuvent rester recluses dans leur coquille, fermée par un opercule, pendant la saison sèche. La vitesse moyenne dun escargot est de 450 mètres à lheure. Si la coquille se brise, une réparation est effectuée.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Escargot, animal du groupe des mollusques, dont les viscères sont contenus dans une coquille spiralée reposant sur un large pied. Réservé généralement aux seuls gastéropodes pulmonés (pourvus de poumons) terrestres à coquille, comme l'escargot de Bourgogne, le terme escargot recouvre parfois également les pulmonés aquatiques, comme les planorbes et les limnées, voire l'ensemble des gastéropodes.
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Les escargots se déplacent par une série de contractions musculaires ondulatoires se propageant le long de la base du pied. Ils portent sur la tête (située à une extrémité du pied) une paire de tentacules oculaires (portant les yeux), et les escargots proprement dits possèdent une seconde paire de tentacules plus petits, à fonction tactile. Ils constituent un maillon important des chaînes alimentaires.
L'escargot de Bourgogne et le « petit-gris », comestibles, peuvent être élevés à des fins gastronomiques. On trouve parfois sur le marché français des espèces asiatiques, les achatines, de plus grande taille, mais réputées moins savoureuses.
Etoile de mer<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Etoile de mer (une)
Embranchement : Echinodermes<o:p></o:p>
Super classe : Astérozoaires<o:p></o:p>
Classe : Astérides
Ordre : Spinulosides<o:p></o:p>
Famille : Echinastéridés
Genre : Asterias
Taille : Certaines étoiles de mer ne mesurent que 1 à 2 cm à l'âge adulte, mais d'autres atteignent 70 cm.
Poids : De quelques grammes à quelques kilos.
Nourriture : Leur nourriture se compose de proies, notamment des mollusques, ou de déchets. Elles peuvent avaler de petites proies entières ou s'attaquer à des proies plus importantes en « sortant » leur estomac et en digérant littéralement leurs victimes à l'extérieur de leur propre corps. En effet, après que les sucs digestifs ont dissous les tissus de la proie, l'estomac, rempli de substances nutritives, est rétracté dans le corps de l'étoile de mer. Certaines astéries, se nourrissent de bivalves (huîtres, moules, coquilles Saint-Jacques) en forçant sur la coquille avec leurs bras puis en glissant leur estomac entre les deux valves.
Milieux : Dans tous les océans du monde à des profondeurs variables.
Sens : En dépit de l'absence de cerveau, les sens du toucher et de lodorat sont assez bien développés chez les étoiles de mer, qui réagissent également à la lumière.
Reproduction : Les sexes sont séparés chez la plupart des astéries, il existe des mâles et des femelles. Seules quelques espèces sont hermaphrodites. Les glandes sexuelles, au nombre de cinq, sont localisées à la base de chaque bras. La fécondation a lieu dans le milieu externe. Elle a lieu au printemps et en été. La femelle se dresse sur ces 5 bras et peut émettre dans leau de mer jusquà 2 millions dovules. Dans un même temps les mâles émettent leurs spermatozoïdes. La fécondation a donc lieu en pleine eau.
Petit : Les ufs donneront naissance à des larves nageuses qui se poseront au fond à lâge de 2 mois pour donner de jeunes étoiles de mer.
Menaces : Carnivores, les étoiles de mer jouent un rôle important dans certaines communautés marines. Dans des conditions assez rares, elles peuvent être dangereuses pour l'équilibre écologique. Certaines espèces sont nuisibles pour les cultures d'huîtres ou de moules, et les représentantes de l'espèce Acanthaster planci sont parfois tellement nombreuses à se nourrir des récifs de corail qu'elles les détruisent.
Prédateurs : Les étoiles de mer connaissent peu de prédateurs naturels.
Autre : Beaucoup d'astéries ont une très grande faculté à régénérer des parties manquantes de leur corps et, chez certaines espèces, ce processus est probablement responsable de l'aptitude à la reproduction asexuée, un nouvel animal pouvant être régénéré à partir d'un seul bras sectionné. Certaines espèces peuvent régénérer un animal entier à partir dun seul bras. La digestion est faite dans deux estomacs séparés, l'estomac cardiaque et l'estomac pylorique. L'estomac cardiaque est comme un sac situé au centre. Il peut être sorti du corps. Quelques espèces utilisent la grande endurance de leur système aquifère* pour ouvrir la coquille des mollusques et introduire leur estomac à l'intérieur (digestion externe). Cela leur permet de chasser des proies beaucoup plus grandes qu'elles et même de petits poissons. Les bras sont aussi munis de glandes digestives.
*aquifère : qui renferme de l'eau
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1- Présentation <o:p></o:p>
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Étoile de mer, animal invertébré marin du groupe des échinodermes, appelé également astérie. Comme leur nom l'indique, leur forme évoque celle d'une étoile, avec cinq bras répartis autour du corps, selon une symétrie radiaire*. En fait, certaines espèces possèdent plus de cinq bras (parfois sept, ou plus d'une dizaine, voire une quarantaine). Le groupe des étoiles de mer est largement représenté dans toutes les profondeurs des océans. On en dénombre environ seize cents espèces.
*symétrie radiaire : symétrie par rapport à un cercle.
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2- Caractéristiques anatomiques<o:p></o:p>
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Les astéries ont généralement un corps rigide et se déplacent lentement en rampant. La bouche est située sur la face inférieure du corps. De longueur variable selon les espèces, les bras portent, également sur leur face inférieure, des rangées de minuscules pieds tubulaires* permettant à l'animal de se déplacer, de se fixer et de capturer ses proies. La face supérieure du corps, rugueuse et garnie de plaques rigides, porte souvent des excroissances ou des épines. L'animal est doté d'un estomac volumineux, d'un réseau complexe de tubes internes (en communication avec les pieds), le système aquifère, caractéristique des échinodermes, et d'un système nerveux formé d'un réseau de nerfs, sans cerveau.
*tubulaires : qui a une forme cylindrique.
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3- Rôle écologiques<o:p></o:p>
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Carnivores, les étoiles de mer jouent un rôle important dans certaines communautés marines. Dans des conditions assez rares, elles peuvent être dangereuses pour l'équilibre écologique. Certaines espèces sont nuisibles pour les cultures d'huîtres ou de moules, et les représentantes de l'espèce Acanthaster planci sont parfois tellement nombreuses à se nourrir des récifs de corail qu'elles les détruisent. Les étoiles de mer connaissent peu de prédateurs naturels.
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Liste : homard ; huître ;
Homard<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Homard (un)
Embranchement : Arthropodes
Sous-embranchement : Crustacés
Classe : Malacostracé
Sous- classe : Eumalacostracé
Super-ordre : Eucaridé
Ordre : Décapodes
Famille : Nephropidés
Genre : Homarus
Taille : Il peut mesurer 50cm
Poids : Il peut peser 4kg.
Nourriture : Tous les homards sont des nécrophages.
Milieux : Le homard affectionne les mers froides. L'aire de répartition du homard est très large, sur la quasi-totalité des côtes nord-atlantiques, du côté européen, comme du côté américain. Le homard vit du bas de la zone infra-littorale (à la limite des zones découvertes aux grandes marées, sous les rochers où il a creusé son terrier), jusqu'à environ 60 mètres de profondeur.
Défense : Ses pinces lui servent de défense.
Reproduction : La reproduction se fait l'été. La femelle venant tout juste de muer, le mâle lui transfère son sperme, qu'elle gardera en elle plusieurs mois. Elle pondra ses oeufs l'année suivante. Après l'accouplement, elle peut pondre des milliers d'oeufs mais en perd 50% pendant l'incubation.
Temps dincubation : Elle les gardera sous sa queue repliée pendant 9 à 12 mois.<o:p></o:p>
Durée de vie : 40 à 50 ans en moyenne.<o:p></o:p>
Petit : La larve, minuscule (quelques mm), mène une vie planctonique au début de son existence, où elle est la proie de nombreux animaux marins, puis elle subit une mue de métamorphose et se pose sur le fond. Le homard juvénile subit une vingtaine de mues de croissance avant d'atteindre l'âge adulte, vers l'âge de quatre ou cinq ans.<o:p></o:p>
Après avoir atteint la maturité sexuelle, le homard, comme la plupart des crustacés, continue de muer régulièrement (en général une fois par an ou tous les deux ans, voire plus pour les plus gros).
Prédateurs : Le petit homard est la proie de plusieurs poissons comme la plie, le loup de mer, la morue et bien d'autres animaux. Une fois adulte, son plus grand prédateur est l'homme.
Autre : Le plus gros homard jamais mesuré a été capturé en Nouvelle-Écosse (Canada) en 1977 et pesait près de 20 kg pour une taille comprise entre 90 et 120 cm. Son âge fut estimé à environ 100 ans.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Homard, crustacé marin marcheur étroitement apparenté aux écrevisses deau douce. Les homards appartiennent au groupe des crustacés macroures, du grec makros, « grand » et oura, « queue », qui tiennent leur nom de leur abdomen de grande taille. La langoustine, bien que son nom dérive de celui de la langouste, est une espèce très proche du homard, mais plus petite, aux pinces plus fines et plus longues.
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Il existe trois espèces de homards, dont lune, de petite taille, ne se rencontre quen Afrique du Sud. Les homards européens sont généralement de couleur bleu sombre ; lespèce américaine présente, sur le ventre, une coloration rouge. Les homards possèdent, à lextrémité de leur première paire de pattes, une grosse paire de pinces (chélipèdes) élargies. La tête porte deux paires dantennes, les yeux sont composés et la queue est en forme déventail.
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Le homard, mets de luxe, est pêché principalement en Turquie, dans les îles Britanniques, en France, en Italie, en Norvège et au Portugal. Le homard américain ne se trouve que sur la côte est de lAmérique du Nord, du Labrador à la Caroline du Nord. La langoustine est plus abondante sur les côtes de France, dÉcosse, dIslande et dEspagne.
Huître<o:p></o:p>
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Généralités :<o:p></o:p>
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Nom : Huître (une)
Embranchement : Chordés
Sous-embranchement : Vertébrés
Classe : Bivalves
Ordre : Ostréoidés
Famille : Ostréidés
Taille : Jusquà 25cm
Poids : Plus dun kilos.
Nourriture : Lhuître se nourrit de micro-organismes, amenés dans la coquille par le courant produit par les cils et triés par les palpes labiaux avant datteindre la bouche.
Milieux : On trouve des huîtres dans le monde entier. Elles forment généralement de grands bancs qui sétendent dans la zone des marées jusquà une profondeur pouvant atteindre 30 m.
Reproduction : La saison de reproduction varie selon la latitude. Les huîtres ont divers modes de reproduction. Lhuître européenne et lhuître olympia de la côte américaine du Pacifique sont hermaphrodites, leurs organes reproducteurs produisant à la fois les ovules et les spermatozoïdes. Les ovules sont fécondés à lintérieur du corps et les ufs retenus sur les branchies jusquà ce que des larves à coquille soient formées. Dautres espèces sont à sexes séparés. Les femelles libèrent des millions dovules dans leau où a lieu la fécondation.
Temps dincubation : L'incubation dure de 8 à 10 jours<o:p></o:p>
Durée de vie : La vie d'une huître a une durée qui va de 10 à 80 ans
Petit : Les larves se développent en six heures, nagent activement pendant deux ou trois semaines, puis sinstallent sur des rochers.
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1- Présentation<o:p></o:p>
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Huître, mollusque marin fixé dont la coquille est constituée de deux valves. Les huîtres, comme les moules et les coquilles Saint-Jacques, font partie de la famille des bivalves, ou lamellibranches. Les huîtres comptent actuellement une cinquantaine despèces, dont plusieurs sont comestibles. Parmi les autres, on trouve les « huîtres perlières », qui nont cependant pas lexclusivité de la production de perles (celles-ci peuvent être produites par dautres bivalves, comme certaines moules).
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2- Anatomie<o:p></o:p>
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Les huîtres se fixent à des rochers par une de leurs valves ou se tiennent au fond de la mer. Elles sont incapables de bouger, car elles perdent très vite leur pied, mais elles sont parfois délogées par les vagues.
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La coquille de lhuître, irrégulièrement ovale, est constituée dune valve droite et dune valve gauche, attachées par un ligament élastique servant de charnière. Un muscle puissant, appelé adducteur, fixé aux deux valves, maintient la coquille étroitement fermée. Lorsque ladducteur se relâche, le ligament élastique écarte naturellement les valves. Lhuître repose sur sa valve gauche, plus profonde et plus épaisse que la droite. À lexception des aires pigmentées sombres où la coquille est connectée à ladducteur, les surfaces internes sont blanches.
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Deux replis dune membrane charnue appelée manteau recouvrent le corps mou de lanimal. Le manteau sécrète les substances organiques et inorganiques qui constituent la coquille. À lextrémité antérieure du corps, entre deux paires de lèvres minces, ou palpes, se trouve une ouverture qui correspond à la bouche de lhuître. Deux paires dorganes respiratoires en forme de faucille, les branchies, sont couvertes de cils filamenteux. Un court gésier relie la bouche à lestomac. Le corps contient également des organes digestif, reproducteur, circulatoire, excréteur et nerveux.
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3- Répartition <o:p></o:p>
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Lostréiculture est pratiquée dans de nombreux pays, car lhuître est un mets recherché pour sa saveur et pour ses propriétés nutritives, dues en particulier à ses sels minéraux (voir Nutrition). Lhuître se consomme crue (avec du citron ou du vinaigre), pochée (dans du vin blanc, par exemple), ou chaude au four, avec divers accompagnements. En France, on élève plusieurs espèces dhuîtres, notamment lhuître plate (ou belon) et les huîtres creuses (portugaise et japonaise). Les principaux bassins dostréiculture sont ceux de Belon, de Marennes-Oléron, dArcachon, de Cancale et de Bouzigues.
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